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Critique de BazaR


Toujours ravi !

Pauvre Jean Baptiste Gratien. Il a réussi à survivre à la débandade de Russie et voilà qu'à Paris il se retrouve confronté à des événements similaires par certains côtés. Il se refait des amis d'infortune : d'indécrottables bonapartistes surveillés par le police de Vidocq. Mais ces gens-là jouent un jeu dangereux, question d'honneur. Décidément Jean Baptiste ne devrait pas s'attacher ; ça fait mal.
Cependant son besoin de vengeance, seule chose qui le fait encore respirer et marcher, trouve de quoi se nourrir. Il lui fallait retrouver l'homme qui les avait tous trahis en Russie. Eh bien il discerne une piste.

Je crois que c'est la première fois que l'on me montre la France royaliste quelques années après la défaite finale de Napoléon. Les rancoeurs et les inimitiés sont très vives. Chapeaux haut de forme et cannes sont de mise, mais on retrouve quelques aspects de la vie toujours en vogue aujourd'hui ; les terrasses en plein air par exemple.
Après l'horreur du deuxième tome, on se permet de respirer même si on est loin de la bluette romantique. Juste une question de contraste.
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