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Critique de Papou64


Après avoir côtoyé, exploré et gouté la mort dans les deux romans précédents, Jon Kalman Stefansson clôt la trilogie avec un dernier tome qui semble pencher du côté de la vie, des relations humaines. C'est le printemps, puis l'été, les sens s'éveillent, l'initiation du gamin se parachève.
Le Village est un microcosme où les lâchetés et les violences se heurtent aux quelques âmes fortes qui osent leur résister. Sexe, pouvoir, argent, rien de neuf ne fait tourner le monde, rien, si ce n'est la poésie qui aide à vivre, qui donne du sens à la vie. Et l'amour, bien entendu : « Où cesse la mort, ailleurs qu'en un baiser ? ».

A peine refermés, je ne songe qu'à relire ces trois romans, qui resteront parmi les meilleurs que j'aie jamais lus.
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