Petit récit drôle avec le mordant bien propre à
Stevenson. Il y parle avec cynisme la position féminine de l'époque (vraiment ?) en présentant une femme forte, indépendante et distante face à un homme perclus de romantisme. Je l'ai perçu comme du féminisme victorien, ce qui n'a rien de surprenant venant de
Stevenson.
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