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Critique de olivberne
Une plongée dans le thème du double, pour représenter ce que nous pouvons avoir de dualité, l'une influençant l'autre.
Ce roman est bien dans la veine du fantastique de la fin du dix-neuvième siècle et on frissonne avec des descriptions noire de Londres (il y a la nuit et le jour), de surprenantes transformations humaines (on est en plein fantastique) et un homme qui ne sait pas s'il doit abandonner sa part d'ombre ou plutôt qui ne sait plus comment s'en débarrasser après l'avoir réveillée.
C'est vraiment un roman intéressant pour cela car il permet de se poser la question de son propre double, de son propre rapport au mal. Est-on plutôt Jekyll ou Hyde? Lequel est le plus à plaindre...
C'est aussi un roman qui permet d'aller à la source d'une histoire bien connue, d'un mythe que le cinéma a souvent transformé et déformé.
Un must pour les amoureux du genre.
Ce roman est bien dans la veine du fantastique de la fin du dix-neuvième siècle et on frissonne avec des descriptions noire de Londres (il y a la nuit et le jour), de surprenantes transformations humaines (on est en plein fantastique) et un homme qui ne sait pas s'il doit abandonner sa part d'ombre ou plutôt qui ne sait plus comment s'en débarrasser après l'avoir réveillée.
C'est vraiment un roman intéressant pour cela car il permet de se poser la question de son propre double, de son propre rapport au mal. Est-on plutôt Jekyll ou Hyde? Lequel est le plus à plaindre...
C'est aussi un roman qui permet d'aller à la source d'une histoire bien connue, d'un mythe que le cinéma a souvent transformé et déformé.
Un must pour les amoureux du genre.
