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Critique de funhome
Ce roman noir nous présente à toute allure les confessions intimes de Marjorie - une condamnée à mort américaine - qui répond à quelques heures de son exécution à 114 questions pour permettre l'écriture du prochain roman de Stéphen King. (en échange d'une somme d'argent permettant de mettre son fils à l'abri du besoin)
Au menu, une immersion réussie dans l'Amérique profonde des fast car et des fast food et sa langue si particulière. (le lexique à la fin est d'ailleurs bien utile)
De l'alcool, de la drogue, du sexe, enfin tout ce qui permet de combler le vide d'une existence trop morne...jusqu'à commettre l'irréparable pour quelques dollars !
Une histoire malheureusement trop "déjà vu" qui ne m'a pas particulièrement touchée. Je n'ai pas réussi à ressentir de l'empathie pour Marjorie sans doute à cause de sa mythomanie et de son absence de remords. Elle a fait ses choix. C'est comme ça.
Je retiendrai cependant l'originalité de la construction du récit et de l'écriture.
Au menu, une immersion réussie dans l'Amérique profonde des fast car et des fast food et sa langue si particulière. (le lexique à la fin est d'ailleurs bien utile)
De l'alcool, de la drogue, du sexe, enfin tout ce qui permet de combler le vide d'une existence trop morne...jusqu'à commettre l'irréparable pour quelques dollars !
Une histoire malheureusement trop "déjà vu" qui ne m'a pas particulièrement touchée. Je n'ai pas réussi à ressentir de l'empathie pour Marjorie sans doute à cause de sa mythomanie et de son absence de remords. Elle a fait ses choix. C'est comme ça.
Je retiendrai cependant l'originalité de la construction du récit et de l'écriture.
