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Critique de LeScribouillard


Comme je devais m'y attendre, les membres de Babelio ont mis René Goscinny comme auteur de chaque Iznogoud. Sauf qu'il n'a fait que les premiers. C'était parfois lourdingue, mais on rigolait bien. Maintenant, c'est l'inverse : on rigole parfois, mais c'est bien lourdingue.
Iznogoud fête son anniversaire et les magiciens décident de lui faire une promo sur les astuces pour devenir calife à la place du calife. Un bon canevas. Et puis ça part en sucette.
Il y a des boîtes à diablotins d'où sort la tête d'Iznogoud, ça fait rire sur le coup. Sauf qu'elles ont un accent idiot et que l'auteur s'amuse à leur imaginer un pouvoir magique à la noix. En insistant bien sur ces caractéristiques, on peut peut-être conclure le tome sur un calembour facile qui résoudrait tout ? Bah oui. Ça irait dans une histoire courte. Pas dans une qui fait 46 pages en tout. Mais ça irait quand même sans les autres lourdeurs.
Dilat demande aux habitants de Bagdad quels besoins ils viennent de faire aux toilettes, avec quelques sous-entendus comme il se doit. Iznogoud se retrouve à notre époque dans un concert de rock où le chanteur fait l'inventaire sur deux cases de tout ce qu'il a oublié en arrivant sur scène (avec un peu de grossièreté, des fois que ça ferait rire). On se retrouve aussi avec cette histoire de voeux a contrario qui n'ont rien à faire avec le reste du récit.
Et l'anniversaire, dans tout ça ? Il y a un bon gag autour de la boîte à cadeaux qui en cache une autre qui au lieu d'être petite est plus grande, et en cache une encore plus grande, et ainsi de suite. Un bon gag. Un seul.
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