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Critique de austria5760
Je trouve la couverture de ce roman très belle et le titre me plaît également par son côté énigmatique et raffiné.
Le raffinement, c'est précisément une constance de cette auteure que je découvre. Raffinement de l'écriture, invitation à découvrir en Autriche les somptueuses villes de Salzbourg et de Vienne, avec leur splendeur passée. L'auteure est férue de musique classique et d'histoire, elle nous fait partager une partie de ses connaissances.
L'histoire commence dans un appartement cossu donnant sur la place du Panthéon et appartenant à la famille Mallervillier. Leur fils, Olivier, est un garçon intelligent, mais il est en grande difficulté scolaire, l'adolescent souffrant de l'absence de ses parents accaparés par leur carrière respective.
Le père va alors faire appel à Christophe, un étudiant en mathématique. Miraculeusement, entre Olivier et Christophe, le courant passe immédiatement. Mais les parents d'Olivier s'éprennent également de l'étudiant si méritant, qui est orphelin et a du mal à joindre les deux bouts.
En se rendant à un concert, Christophe retrouve Xavier, un ami avec lequel il avait appris le piano au conservatoire de musique de Paris. Celui-ci lui apprend la mort de Ghislain, son frère aîné.
Contrairement à Xavier, Ghislain n'est jamais parvenu à jouer correctement du piano, écrasé qu'il était par la personnalité de ses deux parents, pianistes virtuoses. Découvrant un jour le violon, il déclara à son père vouloir apprendre cet instrument de musique plutôt que le piano. Impossible à accepter de la part du père. Faisant preuve d'une intransigeance sans commune mesure, il répudie son propre fils, l'enferme dans un pensionnat en Suisse jusqu'à l'obtention de son baccalauréat. La détresse du jeune homme est sans limite et il sera à jamais meurtri.
Mais ironie du sort, en cachette de son père, il y apprendra à jouer du violon et se révélera être un nouveau Paganini.
Une bien belle histoire contée par l'auteure. Je recommande vivement la lecture de ce roman.
Le raffinement, c'est précisément une constance de cette auteure que je découvre. Raffinement de l'écriture, invitation à découvrir en Autriche les somptueuses villes de Salzbourg et de Vienne, avec leur splendeur passée. L'auteure est férue de musique classique et d'histoire, elle nous fait partager une partie de ses connaissances.
L'histoire commence dans un appartement cossu donnant sur la place du Panthéon et appartenant à la famille Mallervillier. Leur fils, Olivier, est un garçon intelligent, mais il est en grande difficulté scolaire, l'adolescent souffrant de l'absence de ses parents accaparés par leur carrière respective.
Le père va alors faire appel à Christophe, un étudiant en mathématique. Miraculeusement, entre Olivier et Christophe, le courant passe immédiatement. Mais les parents d'Olivier s'éprennent également de l'étudiant si méritant, qui est orphelin et a du mal à joindre les deux bouts.
En se rendant à un concert, Christophe retrouve Xavier, un ami avec lequel il avait appris le piano au conservatoire de musique de Paris. Celui-ci lui apprend la mort de Ghislain, son frère aîné.
Contrairement à Xavier, Ghislain n'est jamais parvenu à jouer correctement du piano, écrasé qu'il était par la personnalité de ses deux parents, pianistes virtuoses. Découvrant un jour le violon, il déclara à son père vouloir apprendre cet instrument de musique plutôt que le piano. Impossible à accepter de la part du père. Faisant preuve d'une intransigeance sans commune mesure, il répudie son propre fils, l'enferme dans un pensionnat en Suisse jusqu'à l'obtention de son baccalauréat. La détresse du jeune homme est sans limite et il sera à jamais meurtri.
Mais ironie du sort, en cachette de son père, il y apprendra à jouer du violon et se révélera être un nouveau Paganini.
Une bien belle histoire contée par l'auteure. Je recommande vivement la lecture de ce roman.
