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Critique de lectiole
"Angolmois, chronique de l'invasion mongole" de Nanahiko Tagaki.
J'avais déjà repéré le nouveau titre des éditions Meian sur Twitter et j'ai acheté les deux premiers tomes aujourd'hui.
6,95 euros, le titre en relief avec des caractères dorés et une édition de qualité avec une couverture qui donne envie dès qu'on la voit : c'est la marque de fabrique de @meian_editions .
"Angolmois" évoque les invasions mongoles qui ont secoué le Japon du Moyen-Age dans la deuxième moitié du treizième siècle. Deux personnages charismatiques se détachent dès le premier tome : Jinzaburô Kuchii, le héros (ou anti-héros ?) au passé un peu mystérieux (il était samouraï avant de devenir détenu) et Teruhi, la fille du gouverneur Sukekuni Sô, prête à tout pour sauver l'île de Tsushima. Au vu des événements, elle va forcément évoluer et compter sur Jinzaburô bien qu'il ne soit a priori qu'un pion qu'elle manipule. Au delà de ces deux personnages dont la relation et les caractères sont suffisamment forts et originaux pour susciter l'intérêt, la mise en place se fait un peu trop rapidement : on n'a pas le temps de s'ennuyer, mais j'ai eu plus de mal à me repérer dans les noms des personnages que dans "Kingdom" ou "Vinland saga" où toutes les informations sont apportées de manière limpide. Je suis revenue sur certains passages. J'ai regardé le premier épisode de l'animé qui ne reprend qu'une partie du premier tome du manga qui est vraiment très dense : 195 pages épiques sur une période de l'histoire du Japon méconnue en France. À suivre...
Lien : https://www.instagram.com/fo..
J'avais déjà repéré le nouveau titre des éditions Meian sur Twitter et j'ai acheté les deux premiers tomes aujourd'hui.
6,95 euros, le titre en relief avec des caractères dorés et une édition de qualité avec une couverture qui donne envie dès qu'on la voit : c'est la marque de fabrique de @meian_editions .
"Angolmois" évoque les invasions mongoles qui ont secoué le Japon du Moyen-Age dans la deuxième moitié du treizième siècle. Deux personnages charismatiques se détachent dès le premier tome : Jinzaburô Kuchii, le héros (ou anti-héros ?) au passé un peu mystérieux (il était samouraï avant de devenir détenu) et Teruhi, la fille du gouverneur Sukekuni Sô, prête à tout pour sauver l'île de Tsushima. Au vu des événements, elle va forcément évoluer et compter sur Jinzaburô bien qu'il ne soit a priori qu'un pion qu'elle manipule. Au delà de ces deux personnages dont la relation et les caractères sont suffisamment forts et originaux pour susciter l'intérêt, la mise en place se fait un peu trop rapidement : on n'a pas le temps de s'ennuyer, mais j'ai eu plus de mal à me repérer dans les noms des personnages que dans "Kingdom" ou "Vinland saga" où toutes les informations sont apportées de manière limpide. Je suis revenue sur certains passages. J'ai regardé le premier épisode de l'animé qui ne reprend qu'une partie du premier tome du manga qui est vraiment très dense : 195 pages épiques sur une période de l'histoire du Japon méconnue en France. À suivre...
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