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Critique de Cyrlight
En se proposant pour jouer le rôle de fausse petite amie de Shizumasa, Haine ne s'attendait pas à être propulsée « Platine », un rang tout spécialement créé pour la chérie de l'Empereur. Il lui faut donc apprendre à composer avec ce titre dans ce deuxième tome de The Gentlemen's Alliance Cross, mais aussi avec les sautes d'humeur de ses camarades, dont celles de son bien-aimé.
Cette suite est, fort heureusement, un peu moins brouillonne, même s'il y a toujours TROP de personnages, qui demeurent assez difficiles à différencier sur le plan physique. Sur le plan mental, en revanche, on arrive à les cerner un peu mieux… mais à quel prix ?
L'ambivalence comportementale de Shizu, que je reprochais précédemment, trouve ici son explication, et elle est, à l'instar de bon nombre des révélations survenant dans ce tome, complètement perchée. Ce qui est d'autant plus dommage qu'il y a, une fois encore, de bonnes idées.
Le problème, c'est qu'on oscille entre des rebondissements « WTF ?! » et des passages plus prenants, plus touchants, même, puisqu'ils confinent au drame pour certains, notamment ceux qui concernent le passé de Haine. Cette disparité dans le ton accentue hélas l'impression que l'histoire part dans tous les sens.
Il y a pourtant un réel potentiel, surtout au niveau des relations entre les personnages, mais chaque fois que mon opinion s'améliore, que je m'autorise un petit « c'est pas si mal, en fait », un nouveau coup de théâtre abracadabrant me pousse à grincer des dents et lever les yeux au ciel.
Pour le moment, je continue le manga, encouragée par son léger mieux en terme de clarté (et surtout parce que j'ai la suite dans ma PAL), mais je ne suis pas encore convaincue. C'est une oeuvre beaucoup trop en dents de scie à mon goût.
Lien : https://leslecturesdecyrligh..
Cette suite est, fort heureusement, un peu moins brouillonne, même s'il y a toujours TROP de personnages, qui demeurent assez difficiles à différencier sur le plan physique. Sur le plan mental, en revanche, on arrive à les cerner un peu mieux… mais à quel prix ?
L'ambivalence comportementale de Shizu, que je reprochais précédemment, trouve ici son explication, et elle est, à l'instar de bon nombre des révélations survenant dans ce tome, complètement perchée. Ce qui est d'autant plus dommage qu'il y a, une fois encore, de bonnes idées.
Le problème, c'est qu'on oscille entre des rebondissements « WTF ?! » et des passages plus prenants, plus touchants, même, puisqu'ils confinent au drame pour certains, notamment ceux qui concernent le passé de Haine. Cette disparité dans le ton accentue hélas l'impression que l'histoire part dans tous les sens.
Il y a pourtant un réel potentiel, surtout au niveau des relations entre les personnages, mais chaque fois que mon opinion s'améliore, que je m'autorise un petit « c'est pas si mal, en fait », un nouveau coup de théâtre abracadabrant me pousse à grincer des dents et lever les yeux au ciel.
Pour le moment, je continue le manga, encouragée par son léger mieux en terme de clarté (et surtout parce que j'ai la suite dans ma PAL), mais je ne suis pas encore convaincue. C'est une oeuvre beaucoup trop en dents de scie à mon goût.
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