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Critique de Cyrlight
Péril au monastère est le premier tome de la série du Félin : Chevalier agent secret. Au cours d'une mission qui consiste à escorter Isabeau, la fille du seigneur de Montbrisac, le héros éponyme et ses compagnons sont contraints de faire halte dans un monastère pour le moins étrange, après qu'on leur a dérobé leurs affaires.
Une histoire très classique tant dans sa forme que dans son fond, qui n'a pas été sans me rappeler un peu les aventures de Bob Morane (version Moyen-Âge), mais qui n'en demeure pas moins sympathique à lire.
Le Félin est le héros par excellence, doté de toutes les qualités qui soient : fort, vaillant, courtois, intègre… Gilles, son écuyer, est un peu moins brave, mais d'une loyauté à toute épreuve et d'une maladresse qui le rendent attachant. Isabeau a elle aussi un caractère appréciable, au contraire de Francine qui, sans être désagréable, est très en retrait en comparaison des trois autres.
L'intrigue ne brille pas par son suspens, on sent venir les rebondissements à l'avance, essentiellement parce qu'il s'agit de ce type de récit où les gentils gagnent toujours à la fin, même lorsqu'ils se retrouvent dans les situations les plus désespérées. D'ailleurs, ce roman se conclut très vite, presque par deus ex machina, mais l'ensemble est porté par une succession d'actions plutôt bien rythmées.
En somme, une lecture pas transcendante, avec une recette déjà vue et revue, mais qui m'a quand même fait passer un bon moment.
Lien : https://leslecturesdecyrligh..
Une histoire très classique tant dans sa forme que dans son fond, qui n'a pas été sans me rappeler un peu les aventures de Bob Morane (version Moyen-Âge), mais qui n'en demeure pas moins sympathique à lire.
Le Félin est le héros par excellence, doté de toutes les qualités qui soient : fort, vaillant, courtois, intègre… Gilles, son écuyer, est un peu moins brave, mais d'une loyauté à toute épreuve et d'une maladresse qui le rendent attachant. Isabeau a elle aussi un caractère appréciable, au contraire de Francine qui, sans être désagréable, est très en retrait en comparaison des trois autres.
L'intrigue ne brille pas par son suspens, on sent venir les rebondissements à l'avance, essentiellement parce qu'il s'agit de ce type de récit où les gentils gagnent toujours à la fin, même lorsqu'ils se retrouvent dans les situations les plus désespérées. D'ailleurs, ce roman se conclut très vite, presque par deus ex machina, mais l'ensemble est porté par une succession d'actions plutôt bien rythmées.
En somme, une lecture pas transcendante, avec une recette déjà vue et revue, mais qui m'a quand même fait passer un bon moment.
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