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Critique de Meygisan


La famille est un thème très présent dans Lost Canvas, et très souvent le coeur de nombreux drames.
Ce tome 24 révèle l'identité d'un personnage dont les actes sont motivés encore une fois par la vengeance fraternelle. Lorsqu'il ne s'agit de venger un frère disparu, il s'agit de se venger d'un frère. Et la vengeance est presque toujours attachée à la famille. Cela commence à devenir un peu redondant, comme s'il n'y avait pas d'autres causes suffisamment valables pour déclencher une guerre, ou justifier de meurtres et de complots visant à tuer et menant forcément à la violence.
Mais il demeure vrai que la trahison de la part d'un membre de sa famille est plus insoutenable que de la part d'un ami.
Donc ce personnage révèle sa véritable identité ainsi que ses véritables desseins, et la trame générale commence à être complète.
Les derniers éléments se mettent, un personnage qui n'avait pas eu son heure de gloire est réintroduit, cela permet de placer une référence à l'oeuvre originale.
Il est d'ailleurs question de pas mal de clin d'oeil puisqu'il s'agit pour ces deux derniers tomes d'assurer le lien avec l'oeuvre de Kurumada. Il faut reconnaître que c'est joliment articulé.
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