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Critique de Yvan_T
Inaugurée par "Paroles de tolards" en 1999 chez Delcourt, la collection "paroles de ...", pour la première fois éditée par Futuropolis, nous agrémente ici d'un cinquième opus intitulé "Paroles de tox".
Willy, Laurence, Alain, Bastien, Christophe, ... 12 toxicomanes témoignent de cette spirale de dépendance qui les entraina loin, parfois trop loin ... Retranscrites par Philippe Thirault, ces histoires vécues ouvrent la fenêtre sur des parcours identiques et des addictions qui frappent sans se soucier de l'origine de leurs victimes. Des causes qui font souvent resurgir les mêmes éléments, des descentes en enfers similaires et des fins qui ne jouent que trop rarement la carte du «Happy End».
Chacune de ces 12 histoires étant dessinée par un auteur différent, cela permet de donner un caractère personnel à des histoires qui, au final, semblent pourtant répétitives tellement le chemin emprunté par ces toxicomanes semble comparable. Alfred, Christopher, Davodeau, Gnaedig, Junker, le Roux, Martin, Milhiet, Moynot, Perissin, Peyraud, Pudhomme, Savoïa, et Bourgeon viennent ainsi mettre leurs talents à la disposition de cet album à intérêt publique.
D'une utilité réelle, cette ouvrage ne laisse pas indifférent. Pour ma part, c'est surtout de l'agacement que j'ai ressenti. Une espèce de ras-le-bol de relire une histoire trop connue et trop souvent répétée, qui m'a poussé à refermer ce one-shot après la neuvième histoire. le tout est évidemment de savoir combien d'histoires de ce genre il faut aux gens avant que ces paroles ne les atteignent ?
Willy, Laurence, Alain, Bastien, Christophe, ... 12 toxicomanes témoignent de cette spirale de dépendance qui les entraina loin, parfois trop loin ... Retranscrites par Philippe Thirault, ces histoires vécues ouvrent la fenêtre sur des parcours identiques et des addictions qui frappent sans se soucier de l'origine de leurs victimes. Des causes qui font souvent resurgir les mêmes éléments, des descentes en enfers similaires et des fins qui ne jouent que trop rarement la carte du «Happy End».
Chacune de ces 12 histoires étant dessinée par un auteur différent, cela permet de donner un caractère personnel à des histoires qui, au final, semblent pourtant répétitives tellement le chemin emprunté par ces toxicomanes semble comparable. Alfred, Christopher, Davodeau, Gnaedig, Junker, le Roux, Martin, Milhiet, Moynot, Perissin, Peyraud, Pudhomme, Savoïa, et Bourgeon viennent ainsi mettre leurs talents à la disposition de cet album à intérêt publique.
D'une utilité réelle, cette ouvrage ne laisse pas indifférent. Pour ma part, c'est surtout de l'agacement que j'ai ressenti. Une espèce de ras-le-bol de relire une histoire trop connue et trop souvent répétée, qui m'a poussé à refermer ce one-shot après la neuvième histoire. le tout est évidemment de savoir combien d'histoires de ce genre il faut aux gens avant que ces paroles ne les atteignent ?
