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Critique de Pippolin


Cyril Poisson marche sur des coussins d'air. Devant lui les portes s'ouvrent sur des jeunes filles graciles qui dessinent des arcs en ciel de douceur : Mikko.

Cédric Mangata a la tête comme un compteur à gaz et des jambes de plomb. A sa vue, les visages se ferment, les regards deviennent circonspects, les sourires se figent en grimaces. Pas Mikko : Ego.

Après le Ying, Jan Thirion glisse dans le Yang. Les deux livres se complètent.

Beaucoup de morts ici, cocasses, jubilatoires, mais pas de temps mort. On fonce dans l'opaque, le poisseux, sans jamais s'engluer grâce au torrent Thirion, à la furia Mangata.

Sortez le Schweppes et les langues de chat.
Et plus, si avidité.
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