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Critique de Shool
On suit pendant 27 pages la vie d'un travailleur de chez Lavocam. Il passe ses journées à laver des camions, karsher à bout de bras, et se fait beaucoup de films pour survivre à la fatalité du temps qui passe , et des jours qui se ressemblent.
Il prend donc son mal en patience en s'imaginant être un grand sportif qui concoure contre ceux qui l'aident à laver les camions. Un camion toute les 13 minutes environ. Il arrive en quart de finale, en demi, en finale... Et tout ça sous les yeux de tous ces spectateurs à qui il offre le spectacle qu'ils attendent. Et surtout, surtout... Coralie, qui travaille à la compta de Lavocam, et qui fait une émission radio tous les soirs...
Une autre rencontre risque de changer ses habitudes...
Une courte nouvelle, écrite avec goût et un rythme parfait. Les métaphores sont bien choisies, et les émotions bien retranscrites. Bizarrement, cette nouvelle de 27 pages propose des émotions diverses du début à la fin.
Comme quoi, pourquoi faire long quand on peut faire court, et bon?!
Il prend donc son mal en patience en s'imaginant être un grand sportif qui concoure contre ceux qui l'aident à laver les camions. Un camion toute les 13 minutes environ. Il arrive en quart de finale, en demi, en finale... Et tout ça sous les yeux de tous ces spectateurs à qui il offre le spectacle qu'ils attendent. Et surtout, surtout... Coralie, qui travaille à la compta de Lavocam, et qui fait une émission radio tous les soirs...
Une autre rencontre risque de changer ses habitudes...
Une courte nouvelle, écrite avec goût et un rythme parfait. Les métaphores sont bien choisies, et les émotions bien retranscrites. Bizarrement, cette nouvelle de 27 pages propose des émotions diverses du début à la fin.
Comme quoi, pourquoi faire long quand on peut faire court, et bon?!
