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Critique de Guillaume72
Cet ouvrage nous offre une plongée dans la décoration palatiale assyrienne à partir des relevés faits par les archéologues.
La première partie est consacrée à l'histoire des fouilles du palais et de la conservation des peintures, la seconde à la description du décor, avant qu'une troisième partie ne nous emmène dans l'histoire du palais en lui même.
C'est quasiment la première fois qu'un ouvrage est entièrement consacré à ces découvertes et nous permet de découvrir la décoration polychrome d'un palais. Les couleur employées sont le bleu, le brun-rouge, le noir et le blanc. Nulle trace de jaune ou de vert.
Telle Ahmar fut sans doute un palais secondaire, qui n'a pas l'opulence des grands palais de Ninive par exemple, à tel point que l'auteur pose comme hypothèse, l'utilisation de la peinture murale en substitution à la sculpture pour une partie des décors pour des raisons économiques et de vitesse d'exécution.
C'est donc avec ce bémol qu'il faut appréhender ces décors qui laissent beaucoup de place aux coutumes auliques et très peu aux représentations de divinités.
Mon regret quant à cet ouvrage est qu'il nous apprend au final peu de chose sur la civilisation assyrienne en soi.
La première partie est consacrée à l'histoire des fouilles du palais et de la conservation des peintures, la seconde à la description du décor, avant qu'une troisième partie ne nous emmène dans l'histoire du palais en lui même.
C'est quasiment la première fois qu'un ouvrage est entièrement consacré à ces découvertes et nous permet de découvrir la décoration polychrome d'un palais. Les couleur employées sont le bleu, le brun-rouge, le noir et le blanc. Nulle trace de jaune ou de vert.
Telle Ahmar fut sans doute un palais secondaire, qui n'a pas l'opulence des grands palais de Ninive par exemple, à tel point que l'auteur pose comme hypothèse, l'utilisation de la peinture murale en substitution à la sculpture pour une partie des décors pour des raisons économiques et de vitesse d'exécution.
C'est donc avec ce bémol qu'il faut appréhender ces décors qui laissent beaucoup de place aux coutumes auliques et très peu aux représentations de divinités.
Mon regret quant à cet ouvrage est qu'il nous apprend au final peu de chose sur la civilisation assyrienne en soi.
