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Critique de jefdebourges
Bien que datant de 15 ans cet essai garde toute sa pertinence.
Au début, il tente d'identifier les causes menant à la démocratie. Mais sans grand succès car chaque démocratie semble avoir des causes différentes.
Pire certaines causes mènent tantôt à la démocratie, tantôt à la dictature (l'alphabétisation généralisée d'un peuple par exemple).
Il prend ensuite un autre angle, le clivage individualiste (très anglosaxon) ou égalitariste (très français).
Puis l'angle autoritarisme(protestantisme) versus libertaire(catholique ou révolutionnaire).
L'équation n'est toujours pas complète
Dans une seconde partie, il tente d'identifier les dangers structurels de la démocratie, le libre-échangisme qui paupérise la majorité du peuple, l'oligarchie qui pour se protéger peut aller vers l'ethnicisation (identification d'un coupable, d'un bouc émissaire. le juif en Allemagne, le musulman aujourd'hui ?) ou vers l'autoritarisme et l'usage disproportionné des forces de l'ordre voire la suppression du suffrage universel.
Utopies ou prophéties ?
En conclusion, il propose d'en finir avec le néo-libéralisme et le libre-échangisme. D'arrêter à cherche à vendre à l'extérieur (donc en conséquence de tirer les salaires vers le bas pour être "compétitif"). de chercher à répondre au marché intérieur, tout en le protégeant des importations abusives (Houlà ! Protectionnisme ! Hihi)
Il précise bien sûr que cela n'est pas réalisable à l'échelle de la nation dans l'union européenne (aucun membre ne pouvant être autonome à lui tout seul), mais que cela peut se concevoir à l'échelle de l'UE.
Certes il faudra convaincre le leader industriel de l'UE (i.e l'Allemagne) qui lui aussi commence à souffrir de l'euro fort et des délocalisations.
Espoir ?
Livresquement vôtre
Au début, il tente d'identifier les causes menant à la démocratie. Mais sans grand succès car chaque démocratie semble avoir des causes différentes.
Pire certaines causes mènent tantôt à la démocratie, tantôt à la dictature (l'alphabétisation généralisée d'un peuple par exemple).
Il prend ensuite un autre angle, le clivage individualiste (très anglosaxon) ou égalitariste (très français).
Puis l'angle autoritarisme(protestantisme) versus libertaire(catholique ou révolutionnaire).
L'équation n'est toujours pas complète
Dans une seconde partie, il tente d'identifier les dangers structurels de la démocratie, le libre-échangisme qui paupérise la majorité du peuple, l'oligarchie qui pour se protéger peut aller vers l'ethnicisation (identification d'un coupable, d'un bouc émissaire. le juif en Allemagne, le musulman aujourd'hui ?) ou vers l'autoritarisme et l'usage disproportionné des forces de l'ordre voire la suppression du suffrage universel.
Utopies ou prophéties ?
En conclusion, il propose d'en finir avec le néo-libéralisme et le libre-échangisme. D'arrêter à cherche à vendre à l'extérieur (donc en conséquence de tirer les salaires vers le bas pour être "compétitif"). de chercher à répondre au marché intérieur, tout en le protégeant des importations abusives (Houlà ! Protectionnisme ! Hihi)
Il précise bien sûr que cela n'est pas réalisable à l'échelle de la nation dans l'union européenne (aucun membre ne pouvant être autonome à lui tout seul), mais que cela peut se concevoir à l'échelle de l'UE.
Certes il faudra convaincre le leader industriel de l'UE (i.e l'Allemagne) qui lui aussi commence à souffrir de l'euro fort et des délocalisations.
Espoir ?
Livresquement vôtre
