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Critique de Alfaric
Dans ce tome 4, le tournoi pour devenir le disciple Maître Genkaï continue de plus belle :
1ère épreuve : une tombola ^^
2e épreuve : un concours de jeu vidéo (punching ball, janken et karaoké) ^^
3e épreuve : traverser une forêt maudite truffée d'esprits malveillants
4e épreuve : en quarts de final, combats à un contre un dans l'obscurité du dojo
(Ici c'est vraiment très bien vu de la part l'auteur : les combats se déroulant dans le noir, on ne voit que ceux que Yusuke et Kuwabara, et on ne montre des autres combats qu'ils en perçoivent (c'est-à-dire pas grand chose))
5e épreuve : en demies finales et en finale, combats à un contre un dans un marais hanté
C'est traité un peu rapidement, mais qu'importe puisque l'auteur reprendra et développera tout cela dans l'arc d'examen d'entrée de "Hunter X Hunter" (l'auteur allant jusqu'à reprendre le personnage de Kazamaru, nommé Hanzo dans son manga suivant).
Là où cela devient vraiment cool, c'est que tous les finalistes du tournois de Genkaï sont des archétypes bien connus des lectures de manga (et peut-être même plus encore, car je suis persuadé qu'il s'agit de détournements de personnages de manga connus, mais ma culture manga est encore loin d'être assez pointue pour pouvoir les identifier avec certitude, encore que Musashi le sabreur solitaire ne soit pas trop difficile reconnaître ^^). On retrouve donc un ninja, un budoka, un samouraï, un moine shaolin, un mage chinois, un tueur à gage, ainsi que Kazuma Kuwabara, voyou, et Urameshi Yusuke, super-voyou…
Au final Rando dévoile sa véritable identité de démon-araignée, et use des cent techniques et sortilèges qu'il a volés pour se débarrasser de nos antihéros. le mangaka est très fort pour passer en un instant de la tragédie à la comédie et vice-versa. Il se paye le luxe d'un gros clin d'oeil au combat de Goku contre Guilan lors du 21e Tenkaichi Budokai, mais je ce que j'ai vraiment kiffé c'est la parodie des codes du shonen nekkestuesque. Déjà, il fait bien sentir que c'est nos antihéros triomphent plus grâce à la chance qu'autre chose. Mais là où je suis carrément bien marré, c'est quand
La fin de ce tome est consacrée à la nouvelle mission de Yusuke, c'est-à-dire enquêter sur l'ouverture d'un portail entre le Ningenkai (le monde des humains) et le Makai (le monde des démons), mais je préfère en parler dans la critique du tome 5 donc to be continued…
1ère épreuve : une tombola ^^
2e épreuve : un concours de jeu vidéo (punching ball, janken et karaoké) ^^
3e épreuve : traverser une forêt maudite truffée d'esprits malveillants
4e épreuve : en quarts de final, combats à un contre un dans l'obscurité du dojo
(Ici c'est vraiment très bien vu de la part l'auteur : les combats se déroulant dans le noir, on ne voit que ceux que Yusuke et Kuwabara, et on ne montre des autres combats qu'ils en perçoivent (c'est-à-dire pas grand chose))
5e épreuve : en demies finales et en finale, combats à un contre un dans un marais hanté
C'est traité un peu rapidement, mais qu'importe puisque l'auteur reprendra et développera tout cela dans l'arc d'examen d'entrée de "Hunter X Hunter" (l'auteur allant jusqu'à reprendre le personnage de Kazamaru, nommé Hanzo dans son manga suivant).
Là où cela devient vraiment cool, c'est que tous les finalistes du tournois de Genkaï sont des archétypes bien connus des lectures de manga (et peut-être même plus encore, car je suis persuadé qu'il s'agit de détournements de personnages de manga connus, mais ma culture manga est encore loin d'être assez pointue pour pouvoir les identifier avec certitude, encore que Musashi le sabreur solitaire ne soit pas trop difficile reconnaître ^^). On retrouve donc un ninja, un budoka, un samouraï, un moine shaolin, un mage chinois, un tueur à gage, ainsi que Kazuma Kuwabara, voyou, et Urameshi Yusuke, super-voyou…
Au final Rando dévoile sa véritable identité de démon-araignée, et use des cent techniques et sortilèges qu'il a volés pour se débarrasser de nos antihéros. le mangaka est très fort pour passer en un instant de la tragédie à la comédie et vice-versa. Il se paye le luxe d'un gros clin d'oeil au combat de Goku contre Guilan lors du 21e Tenkaichi Budokai, mais je ce que j'ai vraiment kiffé c'est la parodie des codes du shonen nekkestuesque. Déjà, il fait bien sentir que c'est nos antihéros triomphent plus grâce à la chance qu'autre chose. Mais là où je suis carrément bien marré, c'est quand
La fin de ce tome est consacrée à la nouvelle mission de Yusuke, c'est-à-dire enquêter sur l'ouverture d'un portail entre le Ningenkai (le monde des humains) et le Makai (le monde des démons), mais je préfère en parler dans la critique du tome 5 donc to be continued…
