>
Critique de edwi25
Afin de ne pas m'étendre trop et vous perdre, je vous invite à lire ma critique en trois temps, de manière chronologique, soit sur les trois tomes écrits par l'auteur.
Mais l'est-il vraiment ? Il faut pour cela poursuivre avec le deuxième tome : « le Seigneur des Anneaux : 2. Les deux tours ». Il compte 607 pages.
On arrive sur une autre phase de l'histoire. Plus triste. L'espoir semble avoir quitté le coeurs de nos compagnons séparés. La mort les cherche, Sauron cherche les hobbits et Saruman montre son véritable visage.
Mais à côté de cela, Tolkien semble écrire de nouvelles conditions pour nos héros. Et honnêtement, pour moi Sam Gamgie est probablement le meilleur de ses personnages. Intelligent, drôle, et surtout, il est l'incarnation de l'espoir. Attaché (un peu trop à mon goût) à son maître. J'aime la manière dont le narrateur le fait parler. J'aime ce fait qu'il soit à la fois très terre à terre, mais aussi enjoué face à ce qu'il voit. Cela le rend intriguant et attachant. Et l'on a très envie de découvrir l'Ancêtre.
De l'autre côté, nous avons aussi Peregrine et Meriadoc qui regorgent d'habilité et de ruse pour survivre. C'est là que l'on se rend compte que Tolkien a su placé les hobbits sur un très beau podium. Car, malgré leur volonté à vouloir toujours manger à leur convenance et à fumer de la bonne herbe à pipe dans une incroyable insouciance, on se rend compte qu'ils sont bien plus que de simples bonnes gens, vivants dans la simplicité. Et leur rencontre avec Fangorn, qui est peut-être leur point de départ à leur futur, rend cela encore plus impressionnant.
D'ailleurs il est remarquable de voir le nombre de communautés créées dans cette histoire. Et, malgré leur condition physique, peu humaine pour certaine, on se surprend (de manière positive) à avoir de l'affection pour eux, ou du dégoût. Tout dépend de l'être en question. Autant dire, J.R.R. Tolkien n'a absolument rien laissé au hasard. Tout a été soigneusement décrit et travaillé. Malgré l'ambiance bien plus tendue que dans le premier tome, on se promène au travers tous ces périples, découvrant de nouvelles nations, de nouveaux êtres vivants. Nous avons toujours l'impression de faire partie de l'histoire, mais quelque chose commence à nous en éloigner.
Mais l'est-il vraiment ? Il faut pour cela poursuivre avec le deuxième tome : « le Seigneur des Anneaux : 2. Les deux tours ». Il compte 607 pages.
On arrive sur une autre phase de l'histoire. Plus triste. L'espoir semble avoir quitté le coeurs de nos compagnons séparés. La mort les cherche, Sauron cherche les hobbits et Saruman montre son véritable visage.
Mais à côté de cela, Tolkien semble écrire de nouvelles conditions pour nos héros. Et honnêtement, pour moi Sam Gamgie est probablement le meilleur de ses personnages. Intelligent, drôle, et surtout, il est l'incarnation de l'espoir. Attaché (un peu trop à mon goût) à son maître. J'aime la manière dont le narrateur le fait parler. J'aime ce fait qu'il soit à la fois très terre à terre, mais aussi enjoué face à ce qu'il voit. Cela le rend intriguant et attachant. Et l'on a très envie de découvrir l'Ancêtre.
De l'autre côté, nous avons aussi Peregrine et Meriadoc qui regorgent d'habilité et de ruse pour survivre. C'est là que l'on se rend compte que Tolkien a su placé les hobbits sur un très beau podium. Car, malgré leur volonté à vouloir toujours manger à leur convenance et à fumer de la bonne herbe à pipe dans une incroyable insouciance, on se rend compte qu'ils sont bien plus que de simples bonnes gens, vivants dans la simplicité. Et leur rencontre avec Fangorn, qui est peut-être leur point de départ à leur futur, rend cela encore plus impressionnant.
D'ailleurs il est remarquable de voir le nombre de communautés créées dans cette histoire. Et, malgré leur condition physique, peu humaine pour certaine, on se surprend (de manière positive) à avoir de l'affection pour eux, ou du dégoût. Tout dépend de l'être en question. Autant dire, J.R.R. Tolkien n'a absolument rien laissé au hasard. Tout a été soigneusement décrit et travaillé. Malgré l'ambiance bien plus tendue que dans le premier tome, on se promène au travers tous ces périples, découvrant de nouvelles nations, de nouveaux êtres vivants. Nous avons toujours l'impression de faire partie de l'histoire, mais quelque chose commence à nous en éloigner.
