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Critique de nonorella
Aujourd'hui, je vous présente le devoir le plus cool de l'univers. Une prof a filé un livre différent à chaque élève de notre classe et je suis tombé sur celui-là. Bon j'avoue que j'ai eu de la chance parce que certains ont eu droit à des essais (cc Bourdieu).
Je ne connaissais ni l'auteur, ni le livre, bien que ceux qui l'avaient lu ne m'en ont dit que du bien (et qu'en plus y'a « pleins de scènes de culs »).
C'est vrai que le protagoniste, assez spécial, à une vie sexuelle bien remplie. Il est très méthodique et strict dans sa vie personnelle et professionnelle. Ses passions sont son église (sa maison rebâtie) et ses tableaux (il adore les impressionnistes). Pour pouvoir se payer cette vie mondaine (et recluse), il recourt au CII : un service de renseignements américain foireux. Les agents sont mauvais et les missions sont ratées. Sauf Jonathan, notre protagoniste.
La facilité à avoir des rapports dans ce livre est assez déstabilisante. Parfois ça ne se limite qu'à un « Bonjour, je m'ennuie ». Ca rend la vie tellement plus simple (dans le livre).
Le sujet principal de l'oeuvre est l'alpinisme. Sujet assez pointu qui ne me passionne pas énormément de base mais qui est très bien renseigné ici. Je ne me suis pas sentie mise de côté dans la lecture parce que je ne connaissais pas toutes les références. Au contraire, je pouvais même prétendre m'y connaître un peu à la fin.
Le style d'écriture de Trévanian est très plaisant, j'ai un peu retrouvé les mêmes sensations qu'en lisant Tokyo Vice, un vocabulaire simple, à la limite de la grossièreté, mais fluide. On se retrouve facilement dans les pensées du protagoniste et dans son monde, sa façon de voir les choses de manière extérieure, éloignée, froide.
Il y a un deuxième tome mais je ne pense pas que je le lirais. Ce tome en lui-même se suffit pour moi et si je dois continuer mon expérience de Trévanian ça se fera grâce à ses one-shots et au film de Clint Eatswood (où il incarne Jonathan Hemlock).
Lien : https://lesrecitsdhecate.wor..
Je ne connaissais ni l'auteur, ni le livre, bien que ceux qui l'avaient lu ne m'en ont dit que du bien (et qu'en plus y'a « pleins de scènes de culs »).
C'est vrai que le protagoniste, assez spécial, à une vie sexuelle bien remplie. Il est très méthodique et strict dans sa vie personnelle et professionnelle. Ses passions sont son église (sa maison rebâtie) et ses tableaux (il adore les impressionnistes). Pour pouvoir se payer cette vie mondaine (et recluse), il recourt au CII : un service de renseignements américain foireux. Les agents sont mauvais et les missions sont ratées. Sauf Jonathan, notre protagoniste.
La facilité à avoir des rapports dans ce livre est assez déstabilisante. Parfois ça ne se limite qu'à un « Bonjour, je m'ennuie ». Ca rend la vie tellement plus simple (dans le livre).
Le sujet principal de l'oeuvre est l'alpinisme. Sujet assez pointu qui ne me passionne pas énormément de base mais qui est très bien renseigné ici. Je ne me suis pas sentie mise de côté dans la lecture parce que je ne connaissais pas toutes les références. Au contraire, je pouvais même prétendre m'y connaître un peu à la fin.
Le style d'écriture de Trévanian est très plaisant, j'ai un peu retrouvé les mêmes sensations qu'en lisant Tokyo Vice, un vocabulaire simple, à la limite de la grossièreté, mais fluide. On se retrouve facilement dans les pensées du protagoniste et dans son monde, sa façon de voir les choses de manière extérieure, éloignée, froide.
Il y a un deuxième tome mais je ne pense pas que je le lirais. Ce tome en lui-même se suffit pour moi et si je dois continuer mon expérience de Trévanian ça se fera grâce à ses one-shots et au film de Clint Eatswood (où il incarne Jonathan Hemlock).
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