À aucun moment je n'ai réussi à oublier, pendant ma lecture, qu'
Alexandre Trudeau était "le frère de l'autre" et "le fils de l'autre". Malgré le souci marqué (un peu trop) de vouloir faire simple, de vouloir connaître les pensées et la vie de tout un chacun, de vouloir représenter la Chine entière actuelle sans préjugés, j'ai senti (peut-être à tort) le ton un peu arrogant et sûr de lui, les manières peu cavalières de l'auteur. Cela m'a déplu énormément.
Commenter  J’apprécie         40