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Critique de Foufoubella
Moi qui me faisais un plaisir de lire ce roman qui me tentait depuis sa sortie en grand format, je sors très très déçue de cette lecture.
Le synopsis avait tout pour me plaire : un manoir anglais, un meurtre, sept vies pour l'élucider. J'imaginais une partie de Cluedo grandeur nature, me demandant dans quelle pièce serait assassinée la fameuse Evelyn, avec le chandelier ou la corde, par le colonel Moutarde ou Mademoiselle Rose. Or, si l'ambiance so British est bien présente, je dois bien admettre avoir eu beaucoup de difficultés à entrer dans l'histoire. En réalité, pour être tout à fait honnête et franche, je n'ai jamais réussi à entrer dans l'histoire.
Il faut dire que la prise en main n'est pas des plus aisées, l'auteur nous faisant entrer dans le récit in medias res, ce qui était en soi une très bonne idée puisque nous, lecteurs, en savons alors autant que le narrateur, c'est à dire rien. Mais c'est aussi ce qui a ajouté de la confusion pour moi car, ne parvenant pas à entrer dans le récit, je n'ai pas réussi à m'attacher à l'histoire ni aux personnages, ce qui fait que j'ai trouvé ces cinq cents et quelques pages très très longues.
Cependant, même si personnellement je n'ai pas adhéré au roman, j'en loue la grande originalité, de par sa construction, son intrigue, ainsi que la maîtrise impeccable de l'auteur qui distille au compte-gouttes les informations. J'ai, pour ma part, échafaudé plusieurs hypothèses qui se sont toutes avérées fausses au final, sauf peut-être la dernière qui m'a fait penser à un épisode de la série Black Mirror.
Malheureusement, quand même, cela n'a pas suffit à m'emballer et m'embarquer.
En bref, une histoire maîtrisée et originale qui, si on parvient à y entrer, fournira un bon moment de plaisir. Mais, hélas, pour moi cela ne fut pas le cas, je me suis trop ennuyée, même si j'admets que cette lecture ne fut pas un pensum non plus, la preuve je l'ai terminée. Je suis juste restée au bord du chemin, ça arrive.
Le synopsis avait tout pour me plaire : un manoir anglais, un meurtre, sept vies pour l'élucider. J'imaginais une partie de Cluedo grandeur nature, me demandant dans quelle pièce serait assassinée la fameuse Evelyn, avec le chandelier ou la corde, par le colonel Moutarde ou Mademoiselle Rose. Or, si l'ambiance so British est bien présente, je dois bien admettre avoir eu beaucoup de difficultés à entrer dans l'histoire. En réalité, pour être tout à fait honnête et franche, je n'ai jamais réussi à entrer dans l'histoire.
Il faut dire que la prise en main n'est pas des plus aisées, l'auteur nous faisant entrer dans le récit in medias res, ce qui était en soi une très bonne idée puisque nous, lecteurs, en savons alors autant que le narrateur, c'est à dire rien. Mais c'est aussi ce qui a ajouté de la confusion pour moi car, ne parvenant pas à entrer dans le récit, je n'ai pas réussi à m'attacher à l'histoire ni aux personnages, ce qui fait que j'ai trouvé ces cinq cents et quelques pages très très longues.
Cependant, même si personnellement je n'ai pas adhéré au roman, j'en loue la grande originalité, de par sa construction, son intrigue, ainsi que la maîtrise impeccable de l'auteur qui distille au compte-gouttes les informations. J'ai, pour ma part, échafaudé plusieurs hypothèses qui se sont toutes avérées fausses au final, sauf peut-être la dernière qui m'a fait penser à un épisode de la série Black Mirror.
Malheureusement, quand même, cela n'a pas suffit à m'emballer et m'embarquer.
En bref, une histoire maîtrisée et originale qui, si on parvient à y entrer, fournira un bon moment de plaisir. Mais, hélas, pour moi cela ne fut pas le cas, je me suis trop ennuyée, même si j'admets que cette lecture ne fut pas un pensum non plus, la preuve je l'ai terminée. Je suis juste restée au bord du chemin, ça arrive.
