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Critique de mamanzouzoute
Dans cet album d'Astérix, les femmes se révoltent quand arrive une nouvelle égérie révolutionnaire qui porte les braies, et dans le mauvais sens en plus ! La guerre des sexes peut débuter. Pour tous les bons mâles de ce village, il est impensable de vouloir changer l'ordre établi.
Si l'on pense au premier abord découvrir un album féministe, l'intrigue se charge vite de nous détromper. Sous les traits de Maestria, Uderzo présente les féministes comme des extrémistes manipulatrices qui poussent les hommes à bout. Heureusement cette harpie ne recueille pas longtemps le soutien de majorité des femmes qui n'a pas la force de caractère nécessaire. Très vite les femmes du village se languissent de leurs maris exilés dans la forêt et oublient leurs idéaux féministes pour des futilités en provenance de Lutèce.
Quand arrive une légion féminine chargée de mettre à mal la supposée galanterie gauloise, on jubile ! Les gauloises vont pouvoir se charger des romaines et devenir des héroïnes de guerre. C'est enfin la fin du patriarcat, elles vont pouvoir accéder au St Graal, la potion ! Il n'en sera rien. Déception. La bataille sera celle des soldes. J'avoue me demander quelles armes auraient été utilisées si Uderzo avait choisi de les faire batailler : casseroles et rouleaux à pâtisserie ?
Pourquoi cette bonne note alors ? Parce qu'après tout, Astérix, c'est de la caricature. SI les féministes se font tordre le cou, les hommes aussi. Ici ils sont encore et toujours rustres, grossiers, violents et incultes. Des hommes quoi ! Alors oui, j'ai ri et passé un bon moment!
Si l'on pense au premier abord découvrir un album féministe, l'intrigue se charge vite de nous détromper. Sous les traits de Maestria, Uderzo présente les féministes comme des extrémistes manipulatrices qui poussent les hommes à bout. Heureusement cette harpie ne recueille pas longtemps le soutien de majorité des femmes qui n'a pas la force de caractère nécessaire. Très vite les femmes du village se languissent de leurs maris exilés dans la forêt et oublient leurs idéaux féministes pour des futilités en provenance de Lutèce.
Quand arrive une légion féminine chargée de mettre à mal la supposée galanterie gauloise, on jubile ! Les gauloises vont pouvoir se charger des romaines et devenir des héroïnes de guerre. C'est enfin la fin du patriarcat, elles vont pouvoir accéder au St Graal, la potion ! Il n'en sera rien. Déception. La bataille sera celle des soldes. J'avoue me demander quelles armes auraient été utilisées si Uderzo avait choisi de les faire batailler : casseroles et rouleaux à pâtisserie ?
Pourquoi cette bonne note alors ? Parce qu'après tout, Astérix, c'est de la caricature. SI les féministes se font tordre le cou, les hommes aussi. Ici ils sont encore et toujours rustres, grossiers, violents et incultes. Des hommes quoi ! Alors oui, j'ai ri et passé un bon moment!
