Un Asterix période "
Uderzo tout seul"... Cela veut tout dire, à mon avis. (merci aux Babeliotes attentifs qui ont pointé à juste titre ce lapsus dû à une grosse fatigue de ma part, heure tardive de l'écriture de cette chronique)
J'ai beaucoup de mal à développer, tant les choses me paraissent outrageusement caricaturales.
Uderzo prend le féminisme comme thème. Il transpose une réflexion du XXIè siècle (ou du XXè, on s'en fout en fait) en Armorique en 50 avant
Jean-Claude...
On aligne tous les poncifs et clichés sur le féminisme et l'émancipation de la femme. On ne sourit pas une seule fois. On est dans le raccourci le plus abrupt. Pas de finesse. Pas de petite phrase qui fasse mouche. Rien de rien...
Le plus comique, c'est que j'ai lu "Le cadeau de
César" juste avant ce tome... Globalement, on a les mêmes recettes: présence féminine, pirates, légions de romains, banquet final... mais la sauce ne prend pas du tout.
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