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Critique de ALDAMO21
J'ai été marqué, au salon du livre Paris 2019, par « le phénomène » Aurélie Valognes.
J'ai vu des files de deux heures d'attente, le samedi et le dimanche, pour rencontrer cette jolie romancière, très pétillante et d'une énorme gentillesse.
Aurélie Valognes c'est déjà cinq romans, dont le savoureux « Mémé dans les orties ».
L'histoire de Ferdinand, un octogénaire, bourru, un peu aigri parfois, mais qui est finalement d'une grande bonté. Et qui se débat avec la gente féminine de son immeuble, pas très aimable avec lui.
C'est un roman tout en légèreté, facétieux, triste et drôle à la fois.
Il me fut d'une grande fraicheur, à l'image de son auteure.
Aurélie Valognes excelle pour décrire avec tendresse la vie et la solitude de Ferdinand le personnage central et de ces vieilles dames, parfois revêches, parfois un peu têtues, parfois espiègles.
Le livre me fut un vrai régal et un grand bol d'air frais !
Et que cela fait du bien à l'âme, par ces temps plombés par tant de haine, de discours sans fin, de destructions et de la violences gratuites.
Ce dimanche de mars, le succès était tel, avec une file attente de plus deux heures, que j'ai failli ne pas rencontrer Aurélie.
Mais comme cette dame a un grand respect pour ses lecteurs, elle a tout fait pour que les derniers, dont je faisais partie, puissent obtenir cette rencontre et sa dédicace.
J'ai vu des files de deux heures d'attente, le samedi et le dimanche, pour rencontrer cette jolie romancière, très pétillante et d'une énorme gentillesse.
Aurélie Valognes c'est déjà cinq romans, dont le savoureux « Mémé dans les orties ».
L'histoire de Ferdinand, un octogénaire, bourru, un peu aigri parfois, mais qui est finalement d'une grande bonté. Et qui se débat avec la gente féminine de son immeuble, pas très aimable avec lui.
C'est un roman tout en légèreté, facétieux, triste et drôle à la fois.
Il me fut d'une grande fraicheur, à l'image de son auteure.
Aurélie Valognes excelle pour décrire avec tendresse la vie et la solitude de Ferdinand le personnage central et de ces vieilles dames, parfois revêches, parfois un peu têtues, parfois espiègles.
Le livre me fut un vrai régal et un grand bol d'air frais !
Et que cela fait du bien à l'âme, par ces temps plombés par tant de haine, de discours sans fin, de destructions et de la violences gratuites.
Ce dimanche de mars, le succès était tel, avec une file attente de plus deux heures, que j'ai failli ne pas rencontrer Aurélie.
Mais comme cette dame a un grand respect pour ses lecteurs, elle a tout fait pour que les derniers, dont je faisais partie, puissent obtenir cette rencontre et sa dédicace.
