Je viens de terminer
Un aller simple, qui est ma cinquième lecture de Didier van Cauwelaert.
L'histoire m'a touchée, dans ce qu'elle recèle de rêve contagieux d'un paradis terrestre... dans l' Atlas marocain. Une quête qui embarque Aziz, le faux marocain,
Jean-Pierre l'attaché du Quai d'Orsay et Valérie, l'ex-guide touristique.
Un aller simple, c'est le récit d'une aventure belle et désenchantée, d'une amitié et d'un voyage comme une visite aux mythes effondrés entre paradis perdus ou introuvables en fin de siècle... Entre Maroc gangrené par le tourisme et Lorraine sinistrée de sa sidérurgie moribonde, il reste l'air des amours perdus et un livre à écrire avec une voix prêtée.
Du bon
Van Cauwelaert, un ton en-dessous des
Jules qui restent mes étalons pour cet auteur plein de belles ressources.
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