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Critique de NicolaK
La porte des ténèbres est un roman de 200 pages, paru sous le pseudonyme Alan Haigh.
Il raconte l'histoire d'un professeur de français qui débarque dans une ville paumée d'un pays inconnu. le personnage est en pleine introspection et découvre que l'endroit où il arrive ne ressemble à rien de ce qu'on peut connaître, même le temps n'y ayant pas d'emprise, et que les habitants s'y révèlent plus que mystérieux.
On avale ce récit très facilement, sa lecture en est addictive, malgré la simplicité du style, agrémenté néanmoins d'un vocabulaire plutôt riche. le suspense est bien présent, les situations et événements mystérieux se succèdent... en gros, on a hâte de savoir ce qui se cache derrière chaque page qu'on tourne...
Sans les passages très orientés sur le sexe torride dont l'auteur ne se prive pas, on aurait pu croire à du Lovecraft. Mais elles s'intègrent très bien à l'histoire et je n'ai pas éprouvé de gêne à les lire. Ça épice le récit, dirons-nous. Je ne vous parlerai pas du final, mais il est grandiose.
Un livre à découvrir.
Il raconte l'histoire d'un professeur de français qui débarque dans une ville paumée d'un pays inconnu. le personnage est en pleine introspection et découvre que l'endroit où il arrive ne ressemble à rien de ce qu'on peut connaître, même le temps n'y ayant pas d'emprise, et que les habitants s'y révèlent plus que mystérieux.
On avale ce récit très facilement, sa lecture en est addictive, malgré la simplicité du style, agrémenté néanmoins d'un vocabulaire plutôt riche. le suspense est bien présent, les situations et événements mystérieux se succèdent... en gros, on a hâte de savoir ce qui se cache derrière chaque page qu'on tourne...
Sans les passages très orientés sur le sexe torride dont l'auteur ne se prive pas, on aurait pu croire à du Lovecraft. Mais elles s'intègrent très bien à l'histoire et je n'ai pas éprouvé de gêne à les lire. Ça épice le récit, dirons-nous. Je ne vous parlerai pas du final, mais il est grandiose.
Un livre à découvrir.
