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Critique de LuxAdament
C'est en voyant la sublime couverture d'Outrepasseurs il y a de cela quelques mois, que l'envie de lire ce livre m'est venue. Sans oublier que le résumé promettait des aventures fantastiques dans un monde de magie et de sociétés secrètes. Celles de Peter, un adolescent qui se voudrait bien future star du football anglais, jusqu'à ce qu'il soit victime d'une attaque à laquelle il ne comprends rien, se trouvant alors projeté -ou plutôt, plongé- contre son gré et dans la plus grande confusion dans un monde qu'il ignorait totalement jusqu'alors. le résumé promet des révélations. C'est ce que nous avons alors qu'au fil des pages, celles-ci se dévoilent.
Dire que ce a quoi je m'étais attendue en lisant le résumé d'Outrepasseurs s'est réalisé dans ce livre serait un mensonge. On s'attend à suivre les aventures de Peter. Eh bien c'est surtout à celles de ses ancêtres -à lui et à tous les autres Héritiers- auxquelles nous avons droit, durant je dirais, au moins les trois quart du livre. Cela a de quoi surprendre au début, peut-être de quoi rebuter certains puisque l'on se retrouve plongés dans le Moyen Âge français contre toute attente. Cela a de quoi rendre confus aussi, alors qu'on ne comprend pas vraiment où l'auteure veut nous emmener. Mais on finit par se retrouver comme Peter : partagé par la curiosité, et une certaine horreur, un malaise qui prend aux tripes, tandis que l'on apprend ce qui est arrivé à ses ancêtres comme à ceux des futurs autres Outrepasseurs.
Si les premiers Outrepasseurs ne sont pas des héros que l'on va aimer et adorer, je me suis pourtant prise d'une certaine affection pour eux -certains, comme Arnaut, plus que d'autres-, comme si je partageais leurs aventures et que, comme eux, les obstacles les obligeait à se souder pour former une famille. Les Fés, bien loin de celles des contes de fées, sont des créatures présentées sous un côté presque maléfique, mais j'ai pourtant été véritablement intriguée par eux. J'aurais presque aimé en apprendre encore un peu plus sur eux, leur manière d'être, aussi dénuée de morale soit-elle. On retrouve aussi quelques références durant le roman, notamment au roman de Renart, sur lequel une partie de l'histoire est basée, j'ai trouvé que le parallèle qui était fait entre les deux était véritablement intéressant.
Quant à la fin, j'ai aimé pourvoir retrouver enfin Peter, que l'on ne voyait au final que par intermittence, une fois le début passé, et je peux le dire : j'ai hâte de trouver le tome deux d'Outrepasseurs, afin de pouvoir véritablement suivre ses aventures. Parce que ce premier tome, à juste titre nommé les Héritiers, laisse sur sa faim, comme un prologue développé, expliquant le passé de personnages que l'on a encore à découvrir presque entièrement, posant les premières pierres d'un monde à part, que l'on a hâte de voir évoluer au fil des pages.
Dire que ce a quoi je m'étais attendue en lisant le résumé d'Outrepasseurs s'est réalisé dans ce livre serait un mensonge. On s'attend à suivre les aventures de Peter. Eh bien c'est surtout à celles de ses ancêtres -à lui et à tous les autres Héritiers- auxquelles nous avons droit, durant je dirais, au moins les trois quart du livre. Cela a de quoi surprendre au début, peut-être de quoi rebuter certains puisque l'on se retrouve plongés dans le Moyen Âge français contre toute attente. Cela a de quoi rendre confus aussi, alors qu'on ne comprend pas vraiment où l'auteure veut nous emmener. Mais on finit par se retrouver comme Peter : partagé par la curiosité, et une certaine horreur, un malaise qui prend aux tripes, tandis que l'on apprend ce qui est arrivé à ses ancêtres comme à ceux des futurs autres Outrepasseurs.
Si les premiers Outrepasseurs ne sont pas des héros que l'on va aimer et adorer, je me suis pourtant prise d'une certaine affection pour eux -certains, comme Arnaut, plus que d'autres-, comme si je partageais leurs aventures et que, comme eux, les obstacles les obligeait à se souder pour former une famille. Les Fés, bien loin de celles des contes de fées, sont des créatures présentées sous un côté presque maléfique, mais j'ai pourtant été véritablement intriguée par eux. J'aurais presque aimé en apprendre encore un peu plus sur eux, leur manière d'être, aussi dénuée de morale soit-elle. On retrouve aussi quelques références durant le roman, notamment au roman de Renart, sur lequel une partie de l'histoire est basée, j'ai trouvé que le parallèle qui était fait entre les deux était véritablement intéressant.
Quant à la fin, j'ai aimé pourvoir retrouver enfin Peter, que l'on ne voyait au final que par intermittence, une fois le début passé, et je peux le dire : j'ai hâte de trouver le tome deux d'Outrepasseurs, afin de pouvoir véritablement suivre ses aventures. Parce que ce premier tome, à juste titre nommé les Héritiers, laisse sur sa faim, comme un prologue développé, expliquant le passé de personnages que l'on a encore à découvrir presque entièrement, posant les premières pierres d'un monde à part, que l'on a hâte de voir évoluer au fil des pages.
