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Critique de Kaya
Joli roman d'une compatriote belge. Si sa saga fantastique "les outrepasseurs" n'avait pas du tout pour décor le pays de la frite, "La lune est à nous" a un bon petit goût du terroir.
J'ai passé un très agréable moment et on sort de cette histoire avec le sourire et foi en l'humanité. Ce récit véhicule un message de paix et de tolérance. En tant qu'ancienne grosse ( et qui ne rentre toujours pas franchement dans du 36... ni même du 38 !!), je ne peux que saluer cette critique envers les diktats de la beauté moderne occidentale, largement diffusée par les réseaux sociaux.
J'aurai juste quelques réserves à émettre quant aux personnages un peu trop remplis de bons sentiments par moments. Ils sont manichéens : soit de vrais gentils, soit de réelles pestes. On a envie d'y croire... mais on a a du mal à y croire. Mais c'est une fausse critique, car les vrais gentils donnent envie d'être aimés et soutenus.
Une autre incompréhension de ma part concerne un certain choix du vocabulaire. le langage est tantôt soutenu et tantôt familier, mais jamais dénué de poésie. Mais j'ai beau ne pas être collet-monté, le mot "branlé" utilisé à plusieurs reprises par Maximilien m'a déplu, car j'ai trouvé qu'il jurait avec la délicatesse du reste de l'histoire. Dans un roman trash, je ne l'aurais même pas relevé, mais ici, ça ne collait pas.
Mais qu'on ne retienne pas cette maladresse, que l'on se souvienne plutôt de cette jolie plume très "jeune" dans le bon sens du terme, très vivante et chaleureuse.
J'ai passé un très agréable moment et on sort de cette histoire avec le sourire et foi en l'humanité. Ce récit véhicule un message de paix et de tolérance. En tant qu'ancienne grosse ( et qui ne rentre toujours pas franchement dans du 36... ni même du 38 !!), je ne peux que saluer cette critique envers les diktats de la beauté moderne occidentale, largement diffusée par les réseaux sociaux.
J'aurai juste quelques réserves à émettre quant aux personnages un peu trop remplis de bons sentiments par moments. Ils sont manichéens : soit de vrais gentils, soit de réelles pestes. On a envie d'y croire... mais on a a du mal à y croire. Mais c'est une fausse critique, car les vrais gentils donnent envie d'être aimés et soutenus.
Une autre incompréhension de ma part concerne un certain choix du vocabulaire. le langage est tantôt soutenu et tantôt familier, mais jamais dénué de poésie. Mais j'ai beau ne pas être collet-monté, le mot "branlé" utilisé à plusieurs reprises par Maximilien m'a déplu, car j'ai trouvé qu'il jurait avec la délicatesse du reste de l'histoire. Dans un roman trash, je ne l'aurais même pas relevé, mais ici, ça ne collait pas.
Mais qu'on ne retienne pas cette maladresse, que l'on se souvienne plutôt de cette jolie plume très "jeune" dans le bon sens du terme, très vivante et chaleureuse.
