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Critique de Meresauvage
L'histoire commence en caractères majuscules : MESDAMES, MESSIEURS. D'emblée, la conteuse en moi est conquise. L'ambiance est là, celle des grands soirs, ceux où l'on se regroupe tous ensemble autour d'un spectacle. Et quel spectacle !
A l'affiche, Catcheur d'amour face à Tête de fer. le combat commence et les deux hommes sont prêts à tout donner. L'un prend l'avantage, puis l'autre reprend le dessus. Qui l'emportera ? C'est que le match est serré !
Jusqu'à ce retournement de situation où les deux catcheurs s'étreignent ... Avant que la caméra ne recule et que l'on ne découvre que ces deux bonshommes de muscles étaient des figurines manipulées par un petit garçon qui avait rassemblé ses jouets autour d'un ring de fortune.
Gala Vanson nous offre un formidable album d'ambiance et une belle ode à l'imagination.
A l'affiche, Catcheur d'amour face à Tête de fer. le combat commence et les deux hommes sont prêts à tout donner. L'un prend l'avantage, puis l'autre reprend le dessus. Qui l'emportera ? C'est que le match est serré !
Jusqu'à ce retournement de situation où les deux catcheurs s'étreignent ... Avant que la caméra ne recule et que l'on ne découvre que ces deux bonshommes de muscles étaient des figurines manipulées par un petit garçon qui avait rassemblé ses jouets autour d'un ring de fortune.
Gala Vanson nous offre un formidable album d'ambiance et une belle ode à l'imagination.
