C'est un plaisir de retrouver le commissaire Adamsberg et ses co-équipiers, avec un faible pour Violette Retancourt. Dans la recette, déposer un orphelinat de jeunes garçons devenus vieux, des vieilles, des viols, des recluses au deux sens du terme, soit l'araignée, soit les femmes qui s'enfermaient à l'époque médiévale. Une préparation et un mélange qui ne va pas toujours dans le sens des enquêteurs. Au final, un polar à la
Fred Vargas, c'est-à-dire succulent, tordu (dans le bon sens du terme) et recherché.
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