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Critique de phoenix39
Paris en 2046, une scission en trois "étages" (avec les égouts, la vieille Paris et les Cabarets), des personnages en quête de l'humanité chez l'autre et une automate en quête de sa propre humanité. Voilà un pitch qui m'a vraiment intrigué !
L'univers : j'ai eu beaucoup de mal à l'appréhender. Pleins de questions sont en suspend et m'ont empêché de plonger totalement dans le récit. Pourquoi est-ce que Paris est ainsi séparée en trois parties ? Pourquoi est-ce que la "poussière" est si importante ? Pourquoi une psychologue pour poissons ? ...
Ceci mit de côté, l'univers reste très intéressant avec une dynamique dystopique bien présente. Chaque strate a bel et bien un état d'esprit qui lui est propre (même si le point de vue des enfants qui sont abondants dans le vieux Paris mériterait d'être montré un peu plus que par leur crainte) et voyager de l'un est à l'autre est agréable et permet un changement de ton bienvenue.
Les personnages : plutôt attachants, on sent qu'ils ont un bagage important qui mériterait d'être approfondit un peu, mais qui leur donne déjà corps. Leur naïveté est tout de même assez déroutante, et donne des situations qui défient le bon sens et peut dépeindre des scènes trop utopiques par moment.
L'écriture : le grand nombre de répétitions vis à vis des prénoms, des sensations ainsi que des attentes de Line alourdissent un peu la lecture. Néanmoins, ces répétitions diminuent au fil du texte ce qui rends la deuxième partie plus agréable (et plus dynamique).
En soit La danseuse automate est un roman plaisant à lire avec un rythme qui tend à s'accélérer au fur et à mesure des chapitres. La lecture peut-être rendue compliqué par les questions qu'on se pose en temps que lecteur sur l'univers et sur certains personnages mais la quête d'humanité de Line reste une expérience intéressante à suivre par laquelle le questionnement de ce qu'est l'humanité est assez bien posée et de manière très agréable.
L'univers : j'ai eu beaucoup de mal à l'appréhender. Pleins de questions sont en suspend et m'ont empêché de plonger totalement dans le récit. Pourquoi est-ce que Paris est ainsi séparée en trois parties ? Pourquoi est-ce que la "poussière" est si importante ? Pourquoi une psychologue pour poissons ? ...
Ceci mit de côté, l'univers reste très intéressant avec une dynamique dystopique bien présente. Chaque strate a bel et bien un état d'esprit qui lui est propre (même si le point de vue des enfants qui sont abondants dans le vieux Paris mériterait d'être montré un peu plus que par leur crainte) et voyager de l'un est à l'autre est agréable et permet un changement de ton bienvenue.
Les personnages : plutôt attachants, on sent qu'ils ont un bagage important qui mériterait d'être approfondit un peu, mais qui leur donne déjà corps. Leur naïveté est tout de même assez déroutante, et donne des situations qui défient le bon sens et peut dépeindre des scènes trop utopiques par moment.
L'écriture : le grand nombre de répétitions vis à vis des prénoms, des sensations ainsi que des attentes de Line alourdissent un peu la lecture. Néanmoins, ces répétitions diminuent au fil du texte ce qui rends la deuxième partie plus agréable (et plus dynamique).
En soit La danseuse automate est un roman plaisant à lire avec un rythme qui tend à s'accélérer au fur et à mesure des chapitres. La lecture peut-être rendue compliqué par les questions qu'on se pose en temps que lecteur sur l'univers et sur certains personnages mais la quête d'humanité de Line reste une expérience intéressante à suivre par laquelle le questionnement de ce qu'est l'humanité est assez bien posée et de manière très agréable.
