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Critique de Melodia31
Dans cet essai, l'auteur diffuse des informations biologiques pour justifier son choix de vie hédoniste et auto centré qu'il dit expérimenter depuis plus de sept ans. Son intention est de nous proposer un chemin pour améliorer notre bien-être, de promouvoir le bonheur qui ne serait accessible selon lui qu'au travers d'une sexualité libérée des conventions sociales.
M. Vernon apporte son regard critique sur le mariage, sur l'illusion et sur le côté éphémère de la passion amoureuse.
Dépourvu de spiritualité, athée, l'auteur ne propose que le sexe comme chemin vers le bonheur. Son postulat est le suivant : consommez et vous serez heureux.
Ce regard masculin est intéressant mais très limité. Il suggère des propositions révolutionnaires - oubliant le paramètre de l'attachement au passage - il questionne le couple, mais à aucun moment il n'apporte de solution sur les drames qui se nouent autour de lui « je fais du mal à ceux que j'aime, mes partenaires de plaisir souffrent ». Il est où le bonheur ?
L'auteur serait favorable à la libéralisation de la prostitution dés lors qu'elle serait consentie (quelle femme sans autre option que vendre son corps pourrait consentir à se prostituer !?) car en valorisant le plaisir sexuel, selon lui, on devrait valoriser ceux qui le prodiguent, en d'autres termes, les étalons! CQFD
En bref dans cet écrit l'auteur ne voit pas plus loin que le bout de son nez pour ne pas le dire autrement. Mais ce fut plaisant à lire.
M. Vernon apporte son regard critique sur le mariage, sur l'illusion et sur le côté éphémère de la passion amoureuse.
Dépourvu de spiritualité, athée, l'auteur ne propose que le sexe comme chemin vers le bonheur. Son postulat est le suivant : consommez et vous serez heureux.
Ce regard masculin est intéressant mais très limité. Il suggère des propositions révolutionnaires - oubliant le paramètre de l'attachement au passage - il questionne le couple, mais à aucun moment il n'apporte de solution sur les drames qui se nouent autour de lui « je fais du mal à ceux que j'aime, mes partenaires de plaisir souffrent ». Il est où le bonheur ?
L'auteur serait favorable à la libéralisation de la prostitution dés lors qu'elle serait consentie (quelle femme sans autre option que vendre son corps pourrait consentir à se prostituer !?) car en valorisant le plaisir sexuel, selon lui, on devrait valoriser ceux qui le prodiguent, en d'autres termes, les étalons! CQFD
En bref dans cet écrit l'auteur ne voit pas plus loin que le bout de son nez pour ne pas le dire autrement. Mais ce fut plaisant à lire.
