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Critique de LoupAlunettes
Sac à dos ? Check !
Faux mannequin ? Check !
Accordéon ? Check !
Les leurres d'évasion sont opérationnels.
Le plan est très simple, le trou est un peu étroit mais si ils l'ont fait, alors Zack peut le réaliser aussi se convainc t-il, satisfait de sa future entreprise.
Tandis que le dernier bateau s'éloigne vers la côte, avec à son bord un papa étourdi qui a de nouveau oublié son fiston sur le chemin, Zack grimpe les escaliers du vieux mirador afin d'avoir une pleine vue sur la prison et ses alentours.
Seul sur l'île, Zack rignoche à l'idée d'avoir malicieusement exploité la faiblesse de son papa à moindre mal afin de réaliser son projet, son futur exploit, refaire l'impossible évasion d'Alcatraz. Ces héros ne sont pas Goldorak ni Superman, bien qu'ils pourraient l'être.
Non, sa fascination se portent sur ceux qu'il surnomment les grands rois de l'évasion, les frères Anglin et leur compagnon de prison Franck Morris. de vrais Houdini !
Avec une petite cuillère, les trois compères ont creusé leur voie vers la liberté à la petite cuillère.
Toutefois, après le trou, c'était les eaux tourmentées autour de l'île d'Alcatraz qu'il fallait affronter.
Personne ne sait si ils ont survécu, la légende semble le suggérer. Un camion bleue fut volé peu de temps après. Pour Zack, cela ne fait pas de doutes. Ils ont pris la tangente avec succès sans ticket de retour !
Incroyable ! Zackary MacKenzie-Mouchon a lu les livres qui parlent de ce drôle d'exploit, vu les films sur le sujet à plusieurs reprises, collecté les coupures de presse qu'il a pu trouver.
Seul dans la cellule d'un des trois fugitifs, Zack fomente son plan sans se douter que là, pas loin, des personnes cherchent la sortie des couloirs.
Mais qu'est ce qu'il fait là ce môme ???
Mais qu'est ce qu'ils font là les les frères Anglin et Frank Morris ???
Mais c'est impossible !
: « La drôle d'évasion de Séverine Vidal est une robinsonnade à prendre au premier degré et avec humour.
Les personnages sont tous présentés avec légèreté grâce aux illustrations de Marion Puech et c'est l'aventure qui prime même si l'histoire de la prison d'Alcatraz et ses traitements durs et épouvantables sont bien connus de l'Histoire, d'où la grande évasion sans en faire l'apologie.Ces histoires sont exposées au musée de l'île, symboles d'une recherche de liberté et de dignité humaine absolue.
Zack, insouciant, rêveur et intrépide ne semble pas mesurer le danger du projet qu'il met au point, afin de rejoindre ses héros dans une réalité qui pourrait se montrer tout autre.
Toutefois, le voyage devient fantastique lorsque Zack, on ne sait par quel prodige, se retrouve plonger en 1962, en compagnie du trio de fugitif qu'il adule. Zack n'est pas très rassuré, il faut bien l'avouer mais la perspective que ces trois là ne soit que des voleurs et non des meurtriers suffit à ne pas s'inventer trop d'histoires à dormir debout.
D'ailleurs, les trois adultes prennent l'enfant sous leur responsabilité, à contre coeur forcément, mais par devoir finalement et les personnages vont peu à peu s'humaniser, par la discussion et le temps passé ensemble.
Franck Morris ne sera plus aussi impressionnant avec sa mine renfrognée et sévère, ils riront beaucoup ensemble et lui et Zack s'attacheront l'un à l'autre sincèrement comme des amis.
L'aventure farfelue se terminera bien et le papa n'aura pas trop à se blâmer de ses étourderies, personne n'est parfait.
Un petit goût de « Retour vers le Futur », Zack pense avoir contribuer à la vieille histoire, la petite cuillère offerte par Franck est précieusement logée dans sa poche pour en témoignée.
Rires, aventure, rêve et mission impossible au programme donc !
Faux mannequin ? Check !
Accordéon ? Check !
Les leurres d'évasion sont opérationnels.
Le plan est très simple, le trou est un peu étroit mais si ils l'ont fait, alors Zack peut le réaliser aussi se convainc t-il, satisfait de sa future entreprise.
Tandis que le dernier bateau s'éloigne vers la côte, avec à son bord un papa étourdi qui a de nouveau oublié son fiston sur le chemin, Zack grimpe les escaliers du vieux mirador afin d'avoir une pleine vue sur la prison et ses alentours.
Seul sur l'île, Zack rignoche à l'idée d'avoir malicieusement exploité la faiblesse de son papa à moindre mal afin de réaliser son projet, son futur exploit, refaire l'impossible évasion d'Alcatraz. Ces héros ne sont pas Goldorak ni Superman, bien qu'ils pourraient l'être.
Non, sa fascination se portent sur ceux qu'il surnomment les grands rois de l'évasion, les frères Anglin et leur compagnon de prison Franck Morris. de vrais Houdini !
Avec une petite cuillère, les trois compères ont creusé leur voie vers la liberté à la petite cuillère.
Toutefois, après le trou, c'était les eaux tourmentées autour de l'île d'Alcatraz qu'il fallait affronter.
Personne ne sait si ils ont survécu, la légende semble le suggérer. Un camion bleue fut volé peu de temps après. Pour Zack, cela ne fait pas de doutes. Ils ont pris la tangente avec succès sans ticket de retour !
Incroyable ! Zackary MacKenzie-Mouchon a lu les livres qui parlent de ce drôle d'exploit, vu les films sur le sujet à plusieurs reprises, collecté les coupures de presse qu'il a pu trouver.
Seul dans la cellule d'un des trois fugitifs, Zack fomente son plan sans se douter que là, pas loin, des personnes cherchent la sortie des couloirs.
Mais qu'est ce qu'il fait là ce môme ???
Mais qu'est ce qu'ils font là les les frères Anglin et Frank Morris ???
Mais c'est impossible !
: « La drôle d'évasion de Séverine Vidal est une robinsonnade à prendre au premier degré et avec humour.
Les personnages sont tous présentés avec légèreté grâce aux illustrations de Marion Puech et c'est l'aventure qui prime même si l'histoire de la prison d'Alcatraz et ses traitements durs et épouvantables sont bien connus de l'Histoire, d'où la grande évasion sans en faire l'apologie.Ces histoires sont exposées au musée de l'île, symboles d'une recherche de liberté et de dignité humaine absolue.
Zack, insouciant, rêveur et intrépide ne semble pas mesurer le danger du projet qu'il met au point, afin de rejoindre ses héros dans une réalité qui pourrait se montrer tout autre.
Toutefois, le voyage devient fantastique lorsque Zack, on ne sait par quel prodige, se retrouve plonger en 1962, en compagnie du trio de fugitif qu'il adule. Zack n'est pas très rassuré, il faut bien l'avouer mais la perspective que ces trois là ne soit que des voleurs et non des meurtriers suffit à ne pas s'inventer trop d'histoires à dormir debout.
D'ailleurs, les trois adultes prennent l'enfant sous leur responsabilité, à contre coeur forcément, mais par devoir finalement et les personnages vont peu à peu s'humaniser, par la discussion et le temps passé ensemble.
Franck Morris ne sera plus aussi impressionnant avec sa mine renfrognée et sévère, ils riront beaucoup ensemble et lui et Zack s'attacheront l'un à l'autre sincèrement comme des amis.
L'aventure farfelue se terminera bien et le papa n'aura pas trop à se blâmer de ses étourderies, personne n'est parfait.
Un petit goût de « Retour vers le Futur », Zack pense avoir contribuer à la vieille histoire, la petite cuillère offerte par Franck est précieusement logée dans sa poche pour en témoignée.
Rires, aventure, rêve et mission impossible au programme donc !
