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Critique de Almalma
80 pages avec Yvonne, octogénaire et veuve, qui quitte sa maison remplie de souvenirs pour s'installer à l'EHPAD… à première vue, c'est pas joyeux – joyeux… mais on aurait bien tort de s'arrêter à cette première impression, car c'est un tourbillon de vie qui va se déchaîner sous nos yeux !
Yvonne, je m'y suis attachée dès les premières pages (vous pouvez préparer quelques mouchoirs dès la première scène, je préfère prévenir) ; cette dame discrète, résignée, qui débarque à l'EHPAD et découvre son nouvel univers, comment ne pas ressentir de tendresse pour elle ?
Mais pas de pathos ici, car Yvonne nous révèle vite un côté espiègle, un goût pour les blagues osées (pas toujours au goût des autres résidents de l'EHPAD…), et une soif d'aventure. Au fil des pages j'ai partagé ses rires, ses souvenirs, sa mélancolie, ses envies de fuite, d'amour, de renouveau, et j'ai terminé ma lecture avec regret, avec l'impression de quitter une amie.
(vivement le tome 2 !)
Yvonne, je m'y suis attachée dès les premières pages (vous pouvez préparer quelques mouchoirs dès la première scène, je préfère prévenir) ; cette dame discrète, résignée, qui débarque à l'EHPAD et découvre son nouvel univers, comment ne pas ressentir de tendresse pour elle ?
Mais pas de pathos ici, car Yvonne nous révèle vite un côté espiègle, un goût pour les blagues osées (pas toujours au goût des autres résidents de l'EHPAD…), et une soif d'aventure. Au fil des pages j'ai partagé ses rires, ses souvenirs, sa mélancolie, ses envies de fuite, d'amour, de renouveau, et j'ai terminé ma lecture avec regret, avec l'impression de quitter une amie.
(vivement le tome 2 !)
