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10 septembre 2017
Et tout cela pour un roman que je ne suis pas en train d'écrire…

« Certains personnages de ce roman sont réels, la plupart sont des fictions. Certains faits rapportés sont réels, la plupart sont des fictions. Les chiens sont tous des fictions : aucun n'est mort assassiné. »

Mais qu'en est-il des cafards et de leur dégout d'une certaine musique ?

Le temps des chiens, des cafards, des livres, de la recherche du temps perdu et de la Théorie esthétique, le temps remémoré et les présents déjantés.

Un immeuble, Teo un vieil homme, un cercle de lecture, Fransceca. Des situations pleines d'ironie.

Un roman en train de s'écrire dans la dénégation, des étages à descendre et à monter, des personnages en trop plein ou en manque de profondeur, des trous dans le temps, des souvenirs au présent.

« Et au moment où il semblait que rien ne pourrait plus arriver, tout bascula, comme si un plaisantin avait soudain changé les choses de place, des bas nylon dans le réfrigérateur, des ampoules grillées sous l'oreiller, des cafards lisant le Temps perdu et des morts qui en avaient marre d'être morts, comme si le passé n'était plus comme avant. »

Un regard sur des aventures mexicaines, des obsessions d'individu-e-s, un complotiste maoïste, un prédicateur mormon qui roule les rrr, des artistes et des taqueros, un peu trop de boisson, Tête de Papaye, des biscuits chinois, Diego et Frida, des tâches sur le pantalon, un chien nommé Vinseul.

Comme une petite musique transcrite sur un mode assez hilarant.


Lien : https://entreleslignesentrel..
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