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Critique de LoupAlunettes
A la venue de l'hiver, il y a le froid, certe.
Des ouvrages nous livrent dans leurs images la neige qui fait parfois défaut et nous découvrons alors deux types d'histoires au final.
Celles qui réchauffent de recevoir et celles qui réchauffent d'offrir.
Et dans cette dernière catégorie, nous abordons vite avec les auteurs l'idée du partage.
"Un nid pour l'hiver" entre dans la seconde catégorie, tout en proposant aussi un conte étiologique.
Pourquoi les conifères restent toujours verts?
C'est le titre d'un conte scandinave dont Bernard Viliot apporte sa version, soutenu des illustrations noires et dorées de Zaü (dont on ne fait plus la publicité, bien connu chez les éditions Rue du Monde).
Un pauvre merle voit une de ses ailes blessée par accident et ne peut partir vers les pays aux climats plus cléments avec ceux de son espèce.
Ainsi demande t-il asile auprès de plusieurs arbres pour abriter son nid et survivre à la morsure du froid.
Il se voit essuyer un refus successivement pour une raison ou une autre par le Bouleau, le Saule et le Chêne (allons-y dans la délation).
Les arbres, qui lui offrirent "gîte et couvert", furent pris sous la protection de Dame Nature et gardèrent leur vigueur en toute saison.
Du même acabit que le bien connu "Juste un petit bout" de Emile Jadoul, ce titre à la robe festive étoilée trouvera facilement des oreilles pour l'écouter aux côtés des versions de la célèbre Moufle, surtout avec ceux et celles qui souhaitent équilibrer avec les histoires à cadeaux et de bon Père Noël.
A découvrir, à lire.
Des ouvrages nous livrent dans leurs images la neige qui fait parfois défaut et nous découvrons alors deux types d'histoires au final.
Celles qui réchauffent de recevoir et celles qui réchauffent d'offrir.
Et dans cette dernière catégorie, nous abordons vite avec les auteurs l'idée du partage.
"Un nid pour l'hiver" entre dans la seconde catégorie, tout en proposant aussi un conte étiologique.
Pourquoi les conifères restent toujours verts?
C'est le titre d'un conte scandinave dont Bernard Viliot apporte sa version, soutenu des illustrations noires et dorées de Zaü (dont on ne fait plus la publicité, bien connu chez les éditions Rue du Monde).
Un pauvre merle voit une de ses ailes blessée par accident et ne peut partir vers les pays aux climats plus cléments avec ceux de son espèce.
Ainsi demande t-il asile auprès de plusieurs arbres pour abriter son nid et survivre à la morsure du froid.
Il se voit essuyer un refus successivement pour une raison ou une autre par le Bouleau, le Saule et le Chêne (allons-y dans la délation).
Les arbres, qui lui offrirent "gîte et couvert", furent pris sous la protection de Dame Nature et gardèrent leur vigueur en toute saison.
Du même acabit que le bien connu "Juste un petit bout" de Emile Jadoul, ce titre à la robe festive étoilée trouvera facilement des oreilles pour l'écouter aux côtés des versions de la célèbre Moufle, surtout avec ceux et celles qui souhaitent équilibrer avec les histoires à cadeaux et de bon Père Noël.
A découvrir, à lire.
