On lit ce que dit Asséli:
“C'est ce fier Gengis-Kan, dont les affreux exploits
Font un vaste tombeau de la superbe Asie. “
Et l'on croit lire une pièce de Racine que l'on ne connaissait pas ... Que nenni ... C'est
Voltaire qui nous offre ces jolis alexandrins, à l'égal de ceux qu'il met dans la bouche d'Idamé: “Tout semblait, je l'avoue, esclave auprès de lui ; Et lorsque de la cour il mendiait l'appui, Inconnu, fugitif, il ne parlait qu'en maître. Il m'aimait ; et mon coeur s'en applaudit peut-être”
Dans le désert littéraire quel fut mon ennui !
Je demeurai longtemps errant dans Césarée,
d' où j'allais à Pékin, retrouver Temuji, que voltaire fit un homme de bonté...
Surprise ce dénouement! Quand
Voltaire se faisait écrivain de
romans de gare...
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