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Critique de Alzie
La partie arrière d'un yatch immense occupe les trois quart de la page en bleu où se détache un couple, appuyé au bastingage. Elle, blonde longiligne et fourreau noir, coupe de champagne à la main, se penche vers lui plus petit, âgé et ventripotent qui lui déclare :
"Mais voyons, mon petit, c'est évident, l'argent sert toujours à quelque chose : tu es là". (P.37)
Outre la présence des humains déjantés ou à côté de la plaque habituels à Voutch, l'intrusion d'animaux de compagnie divers et d'une foule hilarante d'êtres étranges venus de nulle part (clones, yétis et autres monstres, jusqu'au remplaçant de superman), donne à cet album sa touche insolite et hilarante.
Problèmes de fécondation évoqués entre deux toasts dans un salon, zoophilie, tourisme sexuel, réceptions, réunions au sommet ou déclarations d'arrière-boutiques, la galaxie est très contemporaine. Ils sont tous là : Marie-Agnès, Leplanchard, Guichardon, Robert et Maryvonne, passés à la moulinette d'un humour ravageur. On en redemande.
"Mais voyons, mon petit, c'est évident, l'argent sert toujours à quelque chose : tu es là". (P.37)
Outre la présence des humains déjantés ou à côté de la plaque habituels à Voutch, l'intrusion d'animaux de compagnie divers et d'une foule hilarante d'êtres étranges venus de nulle part (clones, yétis et autres monstres, jusqu'au remplaçant de superman), donne à cet album sa touche insolite et hilarante.
Problèmes de fécondation évoqués entre deux toasts dans un salon, zoophilie, tourisme sexuel, réceptions, réunions au sommet ou déclarations d'arrière-boutiques, la galaxie est très contemporaine. Ils sont tous là : Marie-Agnès, Leplanchard, Guichardon, Robert et Maryvonne, passés à la moulinette d'un humour ravageur. On en redemande.
