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Critique de florencem


On ne peut pas dire que ce tome douze soit le plus joyeux de la série Ayashi No Ceres, loin de là. Je n'irais pas jusqu'à dire que dans les tomes précédents, c'était la grande rigolade, mais là... le pire c'est que je me dis que les deux derniers tomes qui restent vont sûrement être pires, et c'est loin de me donner envie de lire la suite. Certes, ce tome nous a permis d'en apprendre beaucoup plus sur Toya (enfin, pas tellement non plus, mais au moins on apprend d'où il vient, et comment il en est arrivé là) et sur les desseins du fondateur. Mais sinon c'est l'hécatombe. J'ai d'ailleurs trouvé la deuxième partie du manga très violente. Je n'avais pas le souvenir que la série était aussi sanguinaire et surtout sadique. J'entends par-là que certains personnages n'ont aucune morale. J'en ai encore froid dans le dos, surtout quand on voit un gamin tirer par pur plaisir sur les autres avec une arme à feu...

J'avais pourtant beaucoup aimé la série lors de sa sortie en France et j'en avais gardé un très bon souvenir, mais en vieillissant et en relisant certains de mes manga, je me rends compte que j'ai changé et que certaines choses qui me plaisaient n'ont plus autant d'attrait maintenant. Je ne sais pas si je conseillerais encore aujourd'hui la série. C'est pour cela que je n'ai mis que trois étoiles...

J'adore pourtant toujours autant le couple Aya/Toya surtout avec ce qu'ils leur arrivent au début du tome, mais la seconde partie m'a fait quelque peu froid dans le dos. Surtout par rapport au comportement du Fondateur. Je n'arrive pas à comprendre sa haine, son sadisme, son comportement psychotique. Parce que oui, il faut dire ce qui est, il est malade ! C'en est presque surréaliste. J'espère que les prochains tomes seront moins sanglants et qu'il y aura un peu d'espoir pour nos héros. Pour changer, ça serait pas mal...
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