Dans les quatre articles repris dans ce recueil,
Simone Weil raconte son expérience à l'usine : la fatigue, la soumission inévitable, la faim. En 1936, avant même la nomination du gouvernement de Front Populaire, elle participe aux premières grèves et décrit ce plaisir : « Se tenir debout. Prendre la parole à son tour. Se sentir des hommes, pendant quelques jours. Indépendamment des revendications, cette grève est en elle-même une joie. Une joie pure. Une joie sans mélange. »
(...)
Ses critiques sont étayées et constructives. Car « cet avenir, il ne faut pas l'attendre, il faut le faire. »
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