Deux nouvelles au charme désuet des romans fantastiques anglais du XIXème.
Les protagonistes sont poursuivis par des rêves devenus pour eux une réalité parallèle, leur soif de matérialiser ces souvenirs qui hantent leur quotidien les conduit à une inexorable perdition.
La porte verte s'ouvre alors sur la mort et l'eden insulaire se ferme sur l'autel du temple ou gît l'aimée.
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