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Critique de ildibad


Une daube sans nom. Un navet aussi fade que possible.
Le seul intérêt réside dans la présentation de l'intelligence artificielle et de ses algorithmes de deep learning. La romance entre l'intelligence artificielle en évolution et la jeune ado rend le concept accessible à tous.
La citation suivante est aussi assez intéressante car elle est inverse le fameux test de Turing:
"Si on comprenait mal l'intelligence réelle, l'empreinte de l'individualité, on savait qu'il s'agissait d'un épiphénomène. Cristallisation imprévisible, elle résultait non pas des calculs d'un simple code, mais d'une quasi-infinité d'interactions infinitésimales. le compteur Turing tentait donc de réfuter la conscience d'une I.A. Il cherchait des indices de sa nature mécanique, des preuves que ses opinions, ses convictions, ses amours et ses haines s'exprimaient à l'intérieur de ses banques mémorielles. Il pouvait demander au vaisseau : « Tu aimes ton amie Pasque ? » Lorsqu'il obtenait une réponse, il fouillait le logiciel du mentor, en quête d'une matrice ou d'une variable, voire d'un simple octet qui aurait stocké cet amour. S'il n'en trouvait aucune trace du point de vue mécanique, il augmentait le niveau de Turing de l'I.A. ; un amour qui ne se limitait pas à un secteur défini démontrait la persistance de la cristallisation.
Dans l'ancienne version du test de Turing, un humain devait prouver l'humanité du sujet ; dans l'actuelle, une machine devait prouver l'absence de la mécanique."
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