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Critique de joellesence


Daniel, écrivain, prend une jeune maîtresse québecoise, Justine. Il a une femme légitime et plein d'autres maîtresses. On va de ville en ville, de pays en pays, on baise à droite et à gauche (où ces gens-là trouvent-ils autant d'argent, je me le demande...). Weyergans parle d'amour (enfin si on veut...), de déprime, d'alcool, de comprimés. Où est l'intérêt d'un tel roman ? (Mais que font les éditeurs et pourquoi les critiques littéraires sont-ils aussi indulgents ? Copinage ?). La fin devient tout à coup intéressante : Justine se suicide et là, j'ai été vraiment touchée par la détresse du narrateur. Mais c'est un peu tard.
Comme je ne veux pas être totalement négative, je recommande la lecture de “Franz et François” du même Weyergans, récit tout à fait intéressant d'une relation père/fils, le père étant un Catholique presque intégriste et le fils se détachant petit à petit de l'emprise de son père (célèbre) et de la religion. le jour où François s'aperçoit que ce n'est pas parce qu'il ne va plus à la messe le dimanche que la foudre lui tombe dessus est particulièrement savoureux.
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