AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
>

Critique de Alfaric


J'ai trouvé ce tome 23 intitulé "Le Poussar" très mauvais, voire carrément ridicule...
Donc en nageant dans son lac préféré, Aria trouve les restes d'un naufrage, dans les restes du naufrage un coffre intact, et dans le coffre intact une liasse immaculée de lettres codées (vous la sentez la grosse ficelle ^^). Donc elle repart à l'aventure pour découvrir le fin mot de l'affaire en partant à la recherche du destinataire appelé Plume de Talébert. Tout le monde lui dit qu'elle a absolument besoin d'un guide (vu sa carrière d'aventurière et ses récents allers-retours entre l'Arnolide et les pays voisins je me suis demandé pourquoi, mais passons). La première partie est assez sympa puisque qu'elle fait équipe avec Ramasch un clochard misanthrope qui s'avère être SPOILER, mais ensuit ça part en live...
Car comme par hasard, l'adresse que doit retrouver Aria abrite Marlanne l'amour de jeunesse de Ramasch dont on appris l'existence quelque page avant... On part ensuite sur le drame de son fils adoptif devenu fou depuis que son mari s'est barré avec l'objet transitionnel de ce dernier. WTF ? On nous explique qu'à Verturion, tous les rites de passages à l'âge adulte passe par l'enterrement de l'objet transitionnel qui permet à l'enfant d'obtenir un nom donc une place dans la société. OK... Aria se lance à recherche du père indigne... Comment Théor est passé de péquenot à seigneur de guerre ? OSEF ! Théor est persuadé que le doudou est un porteur de chance (tout lui réussit, mais ça il vaut le deviner), et sa nouvelle meuf Glystène est persuadé qu'il est porteur de malchance (le brouillard ne se lève plus, mais ça il vaut le deviner)... Aria veut jouer la carte du charme, mais elle tombe sur gris sadique qui lui souhaite la violer, la torturer puis la tuer. Après avoir passé Théor à mort, frappé et insulté Glystèle, et échappé à Ollo leur homme-caméléon domestique elle retourne voir Plume qui retrouve immédiatement la parole et la raison.
Mais ce n'est pas finit dans la balourdise, car

Tout est bien qui finit bien, et l'auteur dont les dessins sont en un cran en dessous n'oublie pas la traditionnelle scène de bain... Soupir !
Commenter  J’apprécie          300



Ont apprécié cette critique (30)voir plus




{* *}