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Critique de Writer
Avant ma lecture, j'avais parcouru très rapidement les critiques où je découvrais que les avis étaient très mitigés. Je ne pouvais donc que lire cet ouvrage pour me faire mon propre avis.
Alors si je n'ai pas adoré, je n'ai pas détesté non plus : je suis comme les critiques, mitigée.
L'idée que je trouve originale, si je puis dire, c'est la dimension du "deuil" ; c'est un sujet si tabou encore dans nos sociétés, et dans la littérature, que je fus encore plus surprise de trouver ce thème dans un roman type New Adult. Toutefois, si certains passages sont très justes concernant la perte d'un proche, sur cet oubli de soi, sur ce sentiment de mourir avec l'être perdu, je trouve le travail de deuil trop rapide ; enfin, passé sous silence plutôt. Car ce n'est pas avec du sexe que l'on peu guérir. du moins, c'est mon avis.
En effet, le sexe si peu présent au début de cet ouvrage, ou alors de manière romantique, par la suite, devient omniprésent, un brin malsain. Certes, Nell a vécu une perte douloureuse et cela change les gens à tout jamais, mais de là, à devenir une toute autre personne, j'ai un peu de mal, je dois bien l'avouer.
D'ailleurs, je trouve que l'auteur s'est un peu perdu vers la fin entre une fausse couche (trop rapidement expédiée), et des parties de jambes en l'air très crues. Trop crues ! Je ne suis pas prude, mais là, ces relations sexuelles si peu romantiques n'avaient pas lieu d'être. Des scènes romantiques et réparatrices auraient été plus appropriées.
Après, pour la relation en elle-même, elle n'a pas réussi à me mettre des étoiles dans les yeux ; non pas que la relation entre Nell et son beau-frère entre guillemets me dérange, mais j'ai trouvé cela trop superficiel (trop rapide et radin en poésie), et trop sexuel.
C'est pourquoi, je suis mitigée : une bonne lecture mais pas non plus une lecture qui vous laisse un souvenir mémorable, ou un souvenir tout court.
Alors si je n'ai pas adoré, je n'ai pas détesté non plus : je suis comme les critiques, mitigée.
L'idée que je trouve originale, si je puis dire, c'est la dimension du "deuil" ; c'est un sujet si tabou encore dans nos sociétés, et dans la littérature, que je fus encore plus surprise de trouver ce thème dans un roman type New Adult. Toutefois, si certains passages sont très justes concernant la perte d'un proche, sur cet oubli de soi, sur ce sentiment de mourir avec l'être perdu, je trouve le travail de deuil trop rapide ; enfin, passé sous silence plutôt. Car ce n'est pas avec du sexe que l'on peu guérir. du moins, c'est mon avis.
En effet, le sexe si peu présent au début de cet ouvrage, ou alors de manière romantique, par la suite, devient omniprésent, un brin malsain. Certes, Nell a vécu une perte douloureuse et cela change les gens à tout jamais, mais de là, à devenir une toute autre personne, j'ai un peu de mal, je dois bien l'avouer.
D'ailleurs, je trouve que l'auteur s'est un peu perdu vers la fin entre une fausse couche (trop rapidement expédiée), et des parties de jambes en l'air très crues. Trop crues ! Je ne suis pas prude, mais là, ces relations sexuelles si peu romantiques n'avaient pas lieu d'être. Des scènes romantiques et réparatrices auraient été plus appropriées.
Après, pour la relation en elle-même, elle n'a pas réussi à me mettre des étoiles dans les yeux ; non pas que la relation entre Nell et son beau-frère entre guillemets me dérange, mais j'ai trouvé cela trop superficiel (trop rapide et radin en poésie), et trop sexuel.
C'est pourquoi, je suis mitigée : une bonne lecture mais pas non plus une lecture qui vous laisse un souvenir mémorable, ou un souvenir tout court.
