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Critique de jeliscurieux
Beatie, le premier personnage féminin a apparaître dans l'histoire n'a pas une vie facile et on se demande quand est-ce que la longue série des embûches va s'arrêter pour elle.
Heureusement, comme dans la vraie vie, la roue tourne toujours à un moment ou un autre.
Elle nous montre ce que ça fait d'être une femme qui tombe enceinte de son amant marié à une autre (ce n'est pas un spolier, on démarre le roman avec cette information) dans le contexte des années 30 où les femmes sont souvent pieuses ou soumises dans les liens du mariage et où la race blanche se croit encore impunément supérieure à toutes les autres couleurs de peau.
Beatie connaît assurément beaucoup d'épreuves et on tremble avec elle de rage et de tristesse.
J'ai trouvé presque la lecture difficile car c'est poignant de ressentir ce qu'elle vit, puis au milieu du livre, j'étais complètement emportée par son histoire.
D'autre part, il y a le récit d'une autre existence en parallèle, celle d'Emma dont on comprend qu'elle est la petite fille de Beatie.
Emma, son univers c'est la passion de la danse et sa renommée internationale en tant que danseuse étoile vivant à Londres.
Sa belle existence se fissure le jour où elle se blesse au genou et où dans le même temps son compagnon lui annonce qu'il la quitte.
Avec Emma,on en apprendra davantage sur les zones d'ombres que lui a laissé sa grand mère Beatie avant de mourir.
J'ai aimé dans ce roman la narration des mondes de ces deux femmes et la façon dont est abordé leurs secrets de famille, le tout sur fond des grands espaces australiens.
Heureusement, comme dans la vraie vie, la roue tourne toujours à un moment ou un autre.
Elle nous montre ce que ça fait d'être une femme qui tombe enceinte de son amant marié à une autre (ce n'est pas un spolier, on démarre le roman avec cette information) dans le contexte des années 30 où les femmes sont souvent pieuses ou soumises dans les liens du mariage et où la race blanche se croit encore impunément supérieure à toutes les autres couleurs de peau.
Beatie connaît assurément beaucoup d'épreuves et on tremble avec elle de rage et de tristesse.
J'ai trouvé presque la lecture difficile car c'est poignant de ressentir ce qu'elle vit, puis au milieu du livre, j'étais complètement emportée par son histoire.
D'autre part, il y a le récit d'une autre existence en parallèle, celle d'Emma dont on comprend qu'elle est la petite fille de Beatie.
Emma, son univers c'est la passion de la danse et sa renommée internationale en tant que danseuse étoile vivant à Londres.
Sa belle existence se fissure le jour où elle se blesse au genou et où dans le même temps son compagnon lui annonce qu'il la quitte.
Avec Emma,on en apprendra davantage sur les zones d'ombres que lui a laissé sa grand mère Beatie avant de mourir.
J'ai aimé dans ce roman la narration des mondes de ces deux femmes et la façon dont est abordé leurs secrets de famille, le tout sur fond des grands espaces australiens.
