La tactique est connue : des chapitres courts, intitulés du nom de la personne dont il y est question. Des mots du vocabulaire courant. Des phrases simples. Bref, le degré ZERO de l'écriture. Plus de 310 pages pour un argument ultra-faible et simple : un jeune Noir est condamné à mort pour le viol d'une jeune fille blanche aux Etats-Unis dans les années 50. En résumé: le Noir a toujours tort.
Impossible d'intéresser le lecteur avec une écriture si faible et tant de personnages dont la description de leur quotidien renforce l'ennui absolu que ce livre génère. (simple opinion)
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