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Critique de Solittletime
Jenni est « ghost writer » ou une plume fantôme. Ce sont ces écrivains qui vivent dans l'ombre en laissant le succès d'un ouvrage à d'autres. La trentaine, Jenni vit avec Rick, instituteur. Tout va pour le mieux jusqu'à ce que Rick change d'avis sur un sujet épineux : il veut des enfants.
Derrière ce refus d'avoir des enfants, Jenni cache un lourd secret que personne ne connait.
Afin de prendre du recul en s'éloignant de Rick, elle accepte d'écrire les mémoires de Klara, une dame âgée qui a beaucoup à raconter. Klara n'habite pas n'importe quel endroit, elle habite l'endroit où le secret de Jenni est à jamais enfoui.
Klara, quant à elle, aimerait partager avec ses enfants ses durs souvenirs de son internement dans un camp à Java pendant la Seconde Guerre Mondiale.
Deux femmes dont le destin est à jamais lié…
Je connaissais Isabel Wolff pour ses romans un peu « Chick Lit ». Je l'adorai déjà dans ce domaine mais ici, elle a su me conquérir !
Tout d'abord, les personnages sont attachants par leurs souffrances, leurs souvenirs, leurs calvaires.
L'écriture est fluide, sans aucune difficulté. On sent que l'auteur maitrise les divers sujets qu'elle aborde. Les thèmes sont durs mais sans aucune tragédie "sur-romancée". C'est clair et précis.
On découvre l'univers de Ghost Writer. le personnage de Jenni accord une réelle importance à ses « clients » mais le lien qui se tisse avec Klara est fabuleux !
Passionnée par la Seconde Guerre Mondiale, j'ai peu en apprendre plus sur les camps d'internement sous l'occupation japonaise, sur l'horreur vécue par ces personnes.
Le retour de ces martyrs en Hollande ou autre m'a particulièrement touchée. Non seulement, ils ont du quitter toutes leurs possessions pour rentrer dans leur pays européen mais ils ont été accueillis comme des profiteurs par « nos » victimes de guerre en Europe. Ceux-ci ne sachant ce qu'ils avaient aussi vécu en Inde, ils étaient alors considérés comme des vacanciers sur le retour.
Bref, le carnage d'une guerre….
Ce livre a vraiment été un coup de coeur auquel je ne m'attendais pas. Un pur régal !
Derrière ce refus d'avoir des enfants, Jenni cache un lourd secret que personne ne connait.
Afin de prendre du recul en s'éloignant de Rick, elle accepte d'écrire les mémoires de Klara, une dame âgée qui a beaucoup à raconter. Klara n'habite pas n'importe quel endroit, elle habite l'endroit où le secret de Jenni est à jamais enfoui.
Klara, quant à elle, aimerait partager avec ses enfants ses durs souvenirs de son internement dans un camp à Java pendant la Seconde Guerre Mondiale.
Deux femmes dont le destin est à jamais lié…
Je connaissais Isabel Wolff pour ses romans un peu « Chick Lit ». Je l'adorai déjà dans ce domaine mais ici, elle a su me conquérir !
Tout d'abord, les personnages sont attachants par leurs souffrances, leurs souvenirs, leurs calvaires.
L'écriture est fluide, sans aucune difficulté. On sent que l'auteur maitrise les divers sujets qu'elle aborde. Les thèmes sont durs mais sans aucune tragédie "sur-romancée". C'est clair et précis.
On découvre l'univers de Ghost Writer. le personnage de Jenni accord une réelle importance à ses « clients » mais le lien qui se tisse avec Klara est fabuleux !
Passionnée par la Seconde Guerre Mondiale, j'ai peu en apprendre plus sur les camps d'internement sous l'occupation japonaise, sur l'horreur vécue par ces personnes.
Le retour de ces martyrs en Hollande ou autre m'a particulièrement touchée. Non seulement, ils ont du quitter toutes leurs possessions pour rentrer dans leur pays européen mais ils ont été accueillis comme des profiteurs par « nos » victimes de guerre en Europe. Ceux-ci ne sachant ce qu'ils avaient aussi vécu en Inde, ils étaient alors considérés comme des vacanciers sur le retour.
Bref, le carnage d'une guerre….
Ce livre a vraiment été un coup de coeur auquel je ne m'attendais pas. Un pur régal !
