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Critique de majero


Le père du pauvre campagnard Wang Changchi s'est ruiné en vain pour que son fils accède à l'université, à la ville et ce dernier fera de même, quitte à mendier, à maçonner pour un salaire de misère, à accepter que sa femme vende son corps, quitte à vendre un rein ou même son enfant.

Cette histoire de pauvres ne tombe pas dans le misérabilisme et se rapprocherait même parfois de la comédie. Je l'ai trouvée pauvre en sentiments et en empathie.

Pauvres également m'ont parus l'inspiration, la trame.
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