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Critique de Alfaric


Dans ce tome 9, grâce à la direction d’Owl Eye et aux pouvoirs de la petite Mika la Confrérie des Mauvais Mutants, euh pardon le Conseil des Surhommes, parvient jusqu’au quartier logeant les familles du personnel du pénitencier, toujours avec le détenu Jin Kazaragi et le surveillant Kakuta à leurs trousses pour les stopper quoi qu’il puisse en coûter…

Jin doit affronter l’aquamancienne Mizuki (AR "Gunnm") avec l’aide de la pyromancienne d’Enki (attention FX !), puis Jin doit affronter un sculpteur d’avant-garde psychopathe avec l’aide de Rio Ikubi et de son théâtre d’ombres (attention FX !). Et au final Jin se retrouve dans l’impasse, soumis au même dilemme qu’Akira Fudo face au démoniaque Jinmen (remember "Devilman", le manga décidément culte, donc résolument cultissime !). Les espoirs de tout le monde reposent sur les frêles épaules de Satoru qui doit se surpasser pour sauver les 800 otages d’Owl Eye d’un sort pire que la mort...
Et puis Jin retourne contre lui les stratégies d’Owl Eye, Tatara le méchant du tome 1 trouve sa rédemption en prenant l’altruisme de Jin pour exemple (donc on continue de filer la thématique à grand pouvoirs, grandes responsabilité : serez-vous Dieu ou Diable ?), et puis gros twist au sujet du chef du Conseil des Surhommes : Rei Kazaragi est-il libre ou emprisonné ? Owl Eye est-il fou ou manipulé ?

Les auteurs de ce manga n’ont jamais été hostile au fanservice : l’adolescente Rio n’a pas besoin de déambuler de tome en tome en tenue d’Eve, mais bon c’est la touche sexy de la série ; par contre il y a quand un peu trop de personnages dont le look et les tics puent les gimmicks de mangas mainstream, comme si les auteurs avaient anticipé les désidérata d’éditeurs peu inspirés ou une adaptation en anime édulcorée…
Pour tout le reste on poursuit le mélange entre "X-Men" et "New York 1997", entre "Heroes" et "Prison Break", le tout avec une pointe de "Lost" ! C’est que du bonheur… blink
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